Soi-esprit.info

Site dédié à la Science de l'Esprit de Rudolf Steiner Anthroposophie

Questionnements, essais et contenus portant sur divers aspects liés à la science de l'esprit (science initiatique moderne) de Rudolf Steiner.
Beaucoup d'articles sur ce site requièrent un travail d'étude sérieux, portant sur des connaissances épistémologiques et ésotériques, pour être compréhensibles.

 

 « Le problème le plus important de toute la pensée humaine : Saisir l'être humain en tant qu'individualité libre, fondée en elle-même »
Vérité et Science, Rudolf Steiner

   

Citation
  • "C'est là, mes chers amis, ce qui apparaît infiniment souhaitable à la science initiatique d'aujourd'hui: que pendant la vie terrestre on ait des pensées qui soient l'image de véritables faits spirituels. Se contenter de la théorie, penser seulement, sans aller au-delà, que l'homme possède des éléments supérieurs, énumérer ces éléments, cela ne signifie pas encore établir un lien avec le monde spirituel. C'est seulement en pensant les réalités qui se déroulent dans le monde spirituel que nous pouvons établir un lien de cette nature."
    Dornach, 4 juillet 1924 - GA237

    Rudolf Steiner
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doctor and patient turquoise


Dans une série de vidéos, Stephan Einsenhut présente «l'idée de la tri-articulation de l'organisme social». Pour ce faire, il s’appuiera souvent sur la connaissance de la constitution de l’être humain.

Dans sa vidéo d’introduction, il insiste sur l’importance d’une activité autonome de la pensée de chaque individu. De ce point de vue, il existe toujours un risque de demeurer relativement passif en visionnant, par exemple, des vidéos. « (…) avec une vidéo, on peut s’informer, mais en fait ce médium incite à la passivité. Mon souhait est toutefois de stimuler l'activité de la pensée chez l'auditeur ». 

Cette série de vidéos consiste en une expérience, une tentative de sa part, pour tenter de transmettre ce contenu de pensée très exigeant.

Nous n’avons à ce jour que visionné les vidéo 1 et 2 et ne pouvons nous prononcer sur l'ensemble (la 2 est particulièrement passionnante : elle présente la conception d’utilisation d’images pour orienter l’opinion publique selon l’intérêt de l’État, telle qu’elle a été conçue par Walter Lippmann, un penseur dont l'influence est considérable jusqu'à ce jour. Cette conception intègre aussi un modèle de gouvernement fondé entre autres sur « les experts »).
Sans avoir déjà tout visionné, nous nous réjouissons déjà que de cette tentative soit menée. Certes, d’autres auteurs présenteront la triarticulation sociale encore d’une autre manière et à partir d'autres points de vue. Ceci nous semble consistant avec la nécessité, pour l’époque moderne, «d’individualiser», y compris l’individualisation des concepts complexes sur base d’expériences personnelles. C’est un enrichissement pour chacun, d’entendre s’exprimer différents points de vue sur une question aussi vaste, exigeante et complexe que la question sociale, encore davantage s’ils sont exprimés dans d’autres langues aussi, car les formes de pensée sont différentes.

En effet, les vidéos de Stephan Einsenhut sont en allemand. 

François Germani a toutefois réalisé un travail de traduction particulièrement conséquent pour obtenir un sous-titrage en langue française de qualité (les traductions automatiques de Youtube de l’allemand vers le français sont en effet en général exécrables). Il a aussi traduit les schémas utilisés par Stephan Eisenhut dans ses vidéos. L’ensemble, la vidéo sous-titrée, les schémas ainsi que les communications orales de l’auteur sont ainsi traduits et accessibles pour les premières vidéos de la série via cette page : http://www.triarticulation.fr/Institut/FG/Articles/2020-00-000.html#h02

Sur la présente page de soi-esprit.info, nous avons fait un copier-coller de l’important travail réalisé par François Germani, sans en modifier le contenu. Seul le canevas de présentation a été modifié. Nous vous souhaitons un excellent visionnage. Pourquoi pas nous communiquer vos retours à ce sujet ?

Note : Si vous ne voyez pas apparaître les sous-titres en langue française,
cliquez sur le petit bouton qui représente l'image d'un texte.

 bouton sous titre

Toutes les vidéos originelles sont issues du site suivant : https://www.dndunlop-institut.de/dreigliederung/

Bien sûr, une fois encore, la mention de sites, de liens, d'articles et d'auteurs sur le site soi-esprit.info ne signifie nullement que l'éditeur responsable du site les cautionne nécessairement et vice-versa.

Stéphane Lejoly

 


 

L'idée de la tri-articulation de l'organisme social

Traduction F. Germani v.03 - 25/11/2021

  • I - L'objectif des vidéos sur cette page de site
  • II - Un bref historique de l'évolution de la tri-articulation
  • 01 - Introduction
  • 02 - La domination des images
  • 03 - Contrôle et pouvoir
  • 04 - La question de la liberté
  • 05 - La santé mondiale et l'enseignement social catholique
  • 06 - Individualisme, liberté et buts de communauté
  • 07 - Grande réinitialisation, système global de socialisme et de devise mondiale
  • Toutes les vidéos suivantes
  • Divers


Dans les années 1917 à 1922, Rudolf Steiner a planté le germe d'une idée totalement nouvelle de coexistence sociale dans l'âme des humains qui pouvaient se tourner vers cette idée. Cette idée a jaillie de la vie spirituelle de l'Europe centrale qui, dans son orientation, est universellement humaine et avec cela accessible aux humains de tous les groupes ethniques de par le monde entier et dont la situation de vie peut être marquée conformément. Cependant, cette idée peut seulement devenir efficace lorsqu'un certain nombre d’humains sont en situation de développer la faculté de former d'autres formes de pensée à côté de la pensée basée sur l'ordre de raison analytique des observations sensorielles. Au début du XXe siècle, seules quelques personnes avaient développé cette capacité. Trop peu, comme le montre l'histoire de la triarticulation. Les vidéos n’éclairent pas seulement l'idée de la triarticulation, mais tentent en même temps de reconstruire le chemin de pensée que Rudolf Steiner a fondé épistémologiquement et considéré comme nécessaire à la découverte de forces sociales du renouveau.

Une personnalité qui avait déjà largement développé cette forme de pensée était l'Écossais Daniel Nicol Dunlop. Non seulement il a su réfléchir à l'idée, mais il a également réussi à façonner ses actions de telle sorte qu'elles deviennent effectives jusqu'à la formation d’institutions communautaires économiques interentreprises. Il a travaillé à partir de ces forces, avant même que Rudolf Steiner ne mette en forme l'idée de la triarticulation. C'est ainsi qu'il fonde dès 1911 la British Electrical and Allied Manufacturers Association. En 1924, il a réussi à créer la Conférence mondiale de l'énergie, qui existe encore aujourd'hui sous une forme modifiée sous le nom de Conseil mondial de l'énergie. Dunlop disposait dans une haute mesure cette pensée sans la fonder épistémologiquement. Il a donc pu agir de l'esprit de cette triarticulation. Il représente une vie occidentale anoblie de l’esprit qui a su entrer dans un dialogue fructueux avec la vie centre européenne de de l’esprit.

La tâche de la vie spirituelle d'Europe centrale est la vitalisation de la pensée, qui conduit à sa spiritualisation. Porter à la vie une idée telle que celle de la triarticulation de l'organisme social, sans faire d'effort pour parvenir à une telle spiritualisation, doit nécessairement échouer. L'évolution de 1917 à 1922 le montre bien : de nombreux humains, bien qu'ils se soient efforcés de lui rendre justice, ont échoué en raison de l'ampleur de la tâche. Néanmoins, parce que l'idée a été portée dans le monde avec une grande force à l'époque, il existe aujourd'hui des points de départ pour continuer à y travailler.

L'objectif de l'approche choisie ici est de montrer comment une spiritualisation de la pensée peut apporter de nouvelles forces créatives dans la vie sociale. L'organisme social se différencie alors en trois membres indépendants. Ce qui est possible dans la vie peut cependant être pensé à l'avance. C'est en même temps un chemin d’exercice pour la vitalisation de la pensée à l'objet de l'organisme social.

En même temps, devrait être tenter d'utiliser l'instrument de la vidéo pour transmettre ces pensées. Il reste à voir si cela réussira. Mais les vidéos sont devenues si répandues qu'elles peuvent peut être quand même donner accès à ces idées à l’une ou à l’autre.

Il serait important de travailler continuellement à la formation des pensées en échange avec d’autres. Car seul un tel échange peut permettre une revitalisation. C'est très difficile à réaliser en un seul endroit aujourd'hui. Même si la coopération dans le cadre de rencontres directes est la forme la plus appropriée, un travail continu sous forme de webinaires devrait être proposé ici en complément. C'est aussi une expérience que j'attends avec impatience.


L'idée a été développée par Rudolf Steiner entre 1917 et 1922. La première phase peut être qualifiée de politique, dans laquelle Rudolf Steiner s'est tourné vers les forces dirigeantes de l'Empire allemand et des Habsbourg pendant la Première Guerre mondiale qui faisait de plus en plus désespérément rage. La première préoccupation de Steiner était que les États d'Europe centrale combinent une mission de paix avec une impulsion spirituelle de renouveau. C'est la seule façon de créer une base morale suffisamment solide pour maintenir une position indépendante dans les négociations de paix. L'occasion s'est présentée lorsqu'à la fin du mois de mai 1917, Otto Graf Lerchenfeld a demandé à Rudolf Steiner ce que l'Allemagne, dont le gouvernement lui semblait de plus en plus décapité et désorienté, pouvait faire pour sortir de la terrible misère de la guerre. En réponse à cette question, Rudolf Steiner a développé l'idée d'une triarticulation sociale au cours d'une conversation de trois heures. Steiner avait travaillé sur ces questions pendant trente ans, mais ce n'est que maintenant que la question du comte lui a donné l'occasion de formuler cette idée. Otto Graf Lerchenfeld a été tellement impressionné par cette idée qu'il a demandé à Rudolf Steiner d'en résumer les grandes lignes dans un mémorandum, avec lequel il pourrait approcher des personnalités influentes à Berlin et servir de médiateur dans les pourparlers. Rudolf Steiner a ensuite rédigé deux mémorandums : le première a été adaptée à la situation de l'Empire germanique, le second à celle de l'Empire des Habsbourg. Une conversation avec l'ami d'école de Lerchenfeld, Richard von Kühlmann, qui occupait dans l'Empire allemand une position qui correspond aujourd'hui à celle de ministre des affaires étrangères, a été organisée. Le comte Ludwig Polzer Hoditz a remis le 2e mémorandum à son frère Arthur Polzer Hoditz, chef de cabinet du jeune empereur Karl Ier d'Autriche. Au début de 1918, une conversation avec le prince Max de Bade a été rendue possible, il est devenu le dernier chancelier de l'empire le 3 octobre. Max von Baden a dû être très impressionné par cette conversation, car il a rendu visite à Rudolf Steiner pour une nouvelle consultation peu avant son entrée en fonction.

Steiner a essayé de faire comprendre aux dirigeants politiques que le programme en 14 points de Woodrow Wilson représentait une menace énorme pour les États d'Europe centrale et que, s'il était accepté, il conduirait à l'abandon de leur indépendance. Bien que toutes ces personnalités aient montré un certain intérêt pour les idées de Steiner, leur force n'était pas suffisante pour les promouvoir activement. La pression extérieure dans leur environnement politique était tout simplement trop forte pour qu'ils puissent défendre courageusement ces idées.

Dans une seconde phase, immédiatement après la fin de la guerre, Rudolf Steiner se tourne vers la bourgeoisie. Au départ, il a donné ses premières conférences publiques en Suisse sur la question sociale. Ces conférences exotériques étaient accompagnées de conférences destinées aux membres de la Société anthroposophique, dans lesquelles le côté spirituel de l'idée de triarticulation était démontré. Sans une spiritualisation de la pensée, l'idée de la triarticulation ne se laisse pas réaliser. Rudolf Steiner espérait ici qu'il y aurait suffisamment d’humains parmi les membres de la Société anthroposophique qui seraient prêts à suivre cette voie. Il espérait que le grand public bourgeois aurait une compréhension instinctive de cette idée si elle était présentée de manière appropriée. Les deux ne se sont pas produits de la manière souhaitée. Par écrit, Rudolf Steiner s'est adressé au public avec un "Appel au peuple allemand et au monde culturel" et avec le livre "Les points clés de la question sociale", ainsi que dans de nombreux articles de magazines.
Dans une troisième phase, qui recoupe absolument la deuxième, Rudolf Steiner s'est adressé à la classe ouvrière. Fin avril 1919, il se rend à Stuttgart et donne des conférences aux ouvriers de l'usine de cigarettes Waldorf-Astoria, aux employés des usines Daimler et Bosch, puis aux comités d'entreprise et aux comités ouvriers des grandes usines de Stuttgart. Les travailleurs ont montré un vif intérêt pour ses idées. L'objectif est d'œuvrer à la coordination interentreprises dans les organes autonomes de la vie économique. Tant les dirigeants socialistes des travailleurs qu’aussi les représentants du  grand capital étaient hostiles à son initiative. Pour les premiers, c'est un capitaliste, pour les seconds, un socialiste.

En plus de ses efforts dans le domaine économique, l'école libre Waldorf de Stuttgart a été fondée en septembre 1919 sur le champ spirituel. Vers la fin de 1919, les efforts autour d’une coordination interentreprises ont dû être de plus en plus retirés. On en vient à la fondation d’institutions économiques, comme Der Kommende Tag AG (Le jour qui vient SA) en Allemagne ou Futurum AG en Suisse.

Dans les années 1920 à 1922, les efforts extérieurs pour la tri-articulation sont progressivement réduits. Les problèmes causés par ces initiatives extérieures deviennent trop massifs. La tentative en Haute-Silésie, qui devait être tomber en 1921 par référendum soit à la Pologne soit à l'Allemagne, de ne pas la déchirer en réalisant le principe national et de la façonner au contraire dans l'esprit de la triarticulation, a provoqué la colère des forces nationalistes allemandes. Pour ces forces, les triarticuleurs sont des "traîtres à la patrie". Aussi une initiative avec 50 intervenants dans plus de 200 conférences pour promouvoir l'idée de la triarticulation conduit simplement à une hostilité renforcée. Rudolf Steiner s'est exprimé de manière très radicale en 1923 :
"Il y a eu ce cours aux conférenciers que j'ai donné avant qu'a été lachée une horde sur le public allemand. Regardez l'écho de ce qui a été fait par ce train de horde ! Ce qui a été exploité là-bas a parfois été plus grotesque qu'autre chose". (GA259, P. 296)

En 1922, le mouvement de triarticulation s'ensable toujours plus ; il échoue avant tout à cause de problèmes internes. Le Congrès Est-Ouest offre une exception, qui trouve aussi un bon accueil dans la presse. Il se montre quand même qu'il doit d'abord être travailler à la consolidation interne de la Société anthroposophique. Du 24 juillet au 6 août, Rudolf Steiner a tenu l’ainsi nommé "Cours d'économie nationale" (GA340) avec une réponse aux questions (Séminaire d'économie nationale, GA341) dans un petit cercle d'économistes et d'étudiants. Ce cours peut être considéré comme une sorte d'héritage de Rudolf Steiner à son idée de triarticulation. Il développe cette idée de la perspective économique. La transformation de la vie économique est étroitement liée à la transformation des forces de tête. Dans la mesure où cela réussit, les organes communautaires de la vie de l’esprit et de la vie économique indépendants de l'État politique pourront se développer.

Il est symptomatique que Rudolf Steiner ait donné ses dernières conférences sur la question sociale à Oxford, peu après le Cours d’économie nationale. Le mouvement spirituel pour le renouvellement de la question sociale, qui a commencé en Europe centrale, s'achève d'abord à l'Ouest, qui, par la nature de sa pensée, est le plus fortement orienté vers la vie économique. Les germes ont été semés. La question est de savoir s'ils peuvent être amenés à fleurir après cent ans.

  • Vidéo 01
  • Slides (images)
  • Transcription et traduction de la vidéo

(Dans la version allemande est repésenté aussi dans le diaporama comment capital et droit sont attirés dans la sphère des marchandise)


Bienvenue de tout cœur dans ma série de vidéos sur l'idée de la triarticulation de l’organisme social. Ce que je fais ici est absolument une expérience. J'aimerais transmettre un contenu de pensées très exigeant par le support de la vidéo. En fait, c'est une contradiction en soi. Parce qu'avec une vidéo, on peut s’informer, mais en fait ce médium incite à la passivité. Mon souhait est toutefois de stimuler l'activité de la pensée chez l'auditeur. Et c'est important. Parce que l’idée de la triarticulation de l'organisme social, cela se montrera, se laisse seulement réaliser, lorsque toujours plus d’humains sont prêts à entrer dans une activité intérieure pensante. C'est en premier par cela que de l'autonomie apparaît. Et dans cette série, j’aimerais aussi montrer que par l'unilatéralité de la pensée moderne de science de la nature, laquelle représente justement une possibilité de regarder le monde, que par l'unilatéralité de cette pensée, beaucoup de problèmes contemporains sont provoqués et il ne s'agit pas d’abolir maintenant cette pensée, qui a absolument sa justification, mais il s'agit plutôt de montrer qu'à côté de cette pensée encore d'autres formes de pensée ont une justification, mais que celles-ci doivent d'abord être découvertes. Et il se montrera que plus il réussit aux humains dans une liberté intérieure à disposer de ces autres formes de de la pensée, d’autant plus l'organisme social se différenciera en trois membres indépendants. Il s’agit de cela dans cela dans ces conférences.

Pour cela je propose un moyen pour aider. Toujours à nouveau, je vais afficher ici des graphiques qui ont la tâche de clarifier les pensées et ces graphiques devraient simplement fournir une orientation. Ils représentent une sorte de carte. Personne ne tiendrait la carte elle-même pour la réalité. Mais s'il peut lire la carte alors il peut se rendre aux endroits indiqués qui sont décrits sur la carte. Et il s'agit de cela. Je m’efforce de construire des éléments structurels déterminés toujours de la même façon dans ces graphiques. Les concepts que j’aimerais développer ici seront construits progressivement. Je ne définirai pas tout de suite, mais je vais caractériser et l'auditeur remarquera que, s’il m’accompagne sur le chemin que j’aimerais décrire ici, que ces concepts deviennent, avec le temps, de plus en plus riches par les caractérisations toujours nouvelles. S’il m’est donné d’inciter l'auditeur grâce à ces caractérisations à des observations indépendantes et un travail indépendant à ces concepts, alors l'expérience aurait été quelque peu réussie.

Cette idée a été développée pour la première fois pendant la Première Guerre mondiale, et d‘ailleurs par Rudolf Steiner. Elle a alors traversé différentes métamorphoses. 1919 fut une année où Steiner s'est tourné avec cette idée vers un large public et en, il a résumé ces pensées encore une fois dans un cours pour des étudiants en économie nationale, qui est justement appelé aujourd’hui cours d’économie nationale. En fait on devrait appeler ce cours, cours d’économie mondiale, mais on parlait justement autrefois dans les sciences économiques en Allemagne d'économie nationale. C'est pourquoi il s'appelle aujourd’hui cours d'économie nationale. J'aimerais donner ici une introduction à cette idée aussi si les pensées ont maintenant plus de 100 ans, elles ont un potentiel énorme pour l'avenir et les concepts tels qu'ils ont été développés autrefois collent dans une haute mesure pour les problèmes actuels.

J’aimerais montrer cela dans cette vidéo. Et pour cela, je voudrais d'abord partir de trois concepts posant des bases. Lorsqu'on comprend ces concepts, on vient immédiatement aux trois domaines de l'organisme social, à savoir une fois le concept de capital. Quand on comprend de quoi le capital naît, à partir de quels soubassements d'âme l'humain génère du capital, qui est lié à sa vie de l'âme, alors on comprend finalement le domaine de ce que Rudolf Steiner a appelé la vie de l'esprit. Vis-à-vis de cela, j'aimerais placer le concept de la marchandise. Lorsqu'on apprend à comprendre les processus de marchandises, alors on comprend le domaine que Rudolf Steiner a décrit comme la vie de l'économie. Entre les deux se tient le concept du droit, qui est lié à ce que Rudolf Steiner appellera alors plus tard la vie de droit. Donc, à partir de ces trois concepts, nous pouvons apprendre à comprendre les problèmes sociaux posant des bases et il s'offre maintenant de distinguer à deux sphères et d'ailleurs aussi parce que ces sphères sont pendantes avec la vie de l'âme humaine. L'une des sphères est la sphère des marchandises, l'autre sphère est la sphère du capital et le grand problème est qu'aujourd'hui, à la fois le droit ainsi que le capital sont tirés dans la sphère des marchandises. Pourquoi est-ce ainsi ? Pourquoi des domaines sont-ils tirés dans une sphère déterminée ? 

C'est pendant avec ce que cette sphère des marchandises est dominée par une force de l'âme que déjà les anciens philosophes grecs ont décrite comme la capacité de désirer de l'être humain. Et Aristote, par exemple, voyait dans son éthique nicomachienne, que quand l'humain tombe unilatéralement sous les forces de sa capacité de désirer, ces désirs ne sont pas formés par sa capacité de penser guidée par la raison synthétique, qu'alors il devient un esclave de lui-même. Donc la sphère du capital, elle devient déterminée par la capacité de pensée; nous devons donc tenter de trouver des façonnements, qui permettent que le droit puisse justement être exercé dans le domaine, qui se tient entre la sphère du capital et la sphère des marchandises, puisse fournir le droit, qui est conçu ainsi que ce qui monte volontiers des désirs de l'humain et veut rendre le droit utilisable pour l'humain particulier pour des intérêts particuliers, que cela soit empêché. Et exactement ainsi nous devons justement trouver des concepts pour pour trouver des possibilités de façonnement qui nous aident à façonner le capital à partir des légalités de cette sphère du capital elle-même et non des légalités auxquelles est soumise la sphère des marchandises et nous devons nous poser la question de comment le droit peut de nouveau être placé à la place correcte dans la vie sociale. Et pour cela aussi, je voudrais tout d'abord partir très fort de la vie de l'âme de l'humain. Car toute la question sociale est pendante avec la vie d'âme de l'humain. C'est inhabituel aujourd'hui. De l'autre côté, il est évident qu'on parle de facteurs psychologiques en science de l'économie. Mais la psyché n'est rien d'autre que le concept grec désignant l'âme. J'utilise peut-être quelque peu ici, passé de mode, l'ancien terme allemand âme et d'ailleurs en partie parce qu'il est un concept standard en anthroposophie qui repose à la base de la triarticulation de l'organisme social. Mais il est reconductible à l'ensemble de l'évolution de la pensée humaine. Autrefois, c'était toujours évident de parler de l'âme de l'être humain. Maintenant, l'âme se tient, comme nous venons de le voir, entre deux forces. Et une force est liée avec les désirs de l'âme et l'autre force est lié à de ce que j'aimerais appeler ici le saisir. Je pourrais aussi l'appeler le connaître, mais saisir et désirer, c'est un joli jeu de mots (allemand).

Et maintenant on peut à nouveau décrire comment, par exemple, le saisir peut se métamorphoser dans deux directions. Car nous pouvons notamment, avec le saisir, apprendre à comprendre les choses qui nous viennent en vis-à-vis dans le monde. Lorsque nous saisissons les choses du monde, nous commençons à les comprendre et du comprendre naît la capacité d'âme de la raison analytique. Mais le saisir peut encore aussi être développé d'après une autre direction. Et d'ailleurs le saisir peut devenir une sorte d'interroger/d'appréhender. Nous devons apprendre à interroger quelque chose qui est sous-jacent aux choses. Que pourrait être pensé avec interroger/appréhender ? Les choses du monde sont dans un contexte/pendant, mais nous ne pouvons pas établir ce contexte même par l'observation des sens. Nous pouvons séparer les choses du monde par la raison analytique. Mais comment les choses se tiennent ensemble, cela nous devons en fait le chercher sur un plan plus haut de la pensée. Dans une certaine manière, nous devons recevoir des intuitions. Le contexte des choses, il nous est donné comme donné. Nous devons apprendre à l'appréhender de quelque part. Et de l'appréhension, on peut alors dériver ce que l'on appelle depuis la nuit des temps la raison synthétique. Par la raison synthétique, on vient alors à ce qu'est l'esprit humain. L'âme se tient dans un rapport avec un spirituel, parce que l'esprit représente les choses, justement leur contexte/pendant et non la singularité. Nous arrivons ici dans le domaine de la pensée qui se métamorphose de deux côtés : séparer et lier. Ce sont les deux qualités.

Mais on peut tout aussi bien métamorphoser la capacité de désirer dans deux directions. Et le désir est justement lié avec l'autre pôle, qui se tient en vis-à-vis du spirituel, à savoir la corporéité humaine. Et du corps naît le désir et le désir peut aussi se transformer quand l'humain aspire après les choses, en avidité et s’accroître toujours plus dans l'avidité. Mais de l'autre côté, le corps est nécessiteux par nature : nous avons faim, soif. Nous devons nous habiller, nous chauffer, etc. Loger. Donc ce corps, par la corporéité, nous sommes placés dans le monde de la Terre et avons des besoins. Et des besoins, émerge finalement le besoin et c'est exactement là-dessus que s'oriente justement la science de l'économie. C'est très sensé, de se rendre une fois plus claires ces deux transformations. Parce qu'on remarque alors les forces à l'œuvre dans ce qui est d'âme, mais qui œuvrent alors pareillement dans les rapports sociaux extérieurs. Et ces forces doivent simplement être façonnées. Avant que j'approfondisse maintenant, dans une seconde vidéo les pendants anthropologiques qui sont en lien avec l'idée de la tri-articulation de l'organisme social, j'aimerais demander aux auditeurs un peu de pensées indépendantes sur ce qui a été exposé jusqu'à présent. Tout de suite l'activité de pensée indépendante conduit à ce que l'on reçoive par activité intérieure, une relation avec ces points de vue. L'ensemble du renouvellement de la vie sociale dépend quand même très fort d'humains qui travaillent à partir d'une indépendance intérieure. Cette indépendance intérieure malheureusement, toujours de plus en plus d'humains la perdent aujourd'hui, car également des éléments de plus en plus manipulateurs, en particulier par les médias électroniques, peuvent atteindre les humains. Et précisément parce qu'on travaille avec un média électronique, on serait censé se rendre conscient comment ces médias agissent, pour y opposer activement quelque chose. J'espère donc que la première vidéo fut une bonne stimulation des pensées. Je me réjouis de pouvoir vous saluer à nouveau dans la deuxième vidéo.

  • Vidéo 02
  • Slides (images)
  • Transcription et traduction de la vidéo


L'un ou l'autre s'est peut-être demandé après la première vidéo, pourquoi les concepts : capital, droit et marchandise que j'ai introduits au début, n'ont pas encore été du tout déterminés. Le fond est simplement que je veux caractériser ces concepts de plus en plus. J'aimerais donc ne pas partir d'une définition, mais plutôt construire des pensées-images qui se tiennent en relation avec ces concepts, et alors, progresser de plus en plus aux déterminations conceptuelles des mêmes. Cela nécessitera quelques vidéos, mais cela rendra les concepts beaucoup plus saturés de réalité, je l'espère du moins. Voici donc d'abord ces trois concepts avec lesquels j'ai commencé: capital, marchandise et droit comme seulement les premiers marquages de domaines qui devraient toujours mieux être saisis dans le déroulé de ce cours vidéo. J'aimerais ajouter un point de vue supplémentaire. Si nous regardons maintenant ce domaine ci-dessus, nous pouvons alors montrer qu'il y en a aussi deux différentes qualités que l'on peut décrire peut-être d'une autre manière que ce à quoi nous sommes habitués avec peut-être subjectif et objectif. Parce que notre pensée à mesure de raison analytique qui sélectionne les concepts particuliers du monde puis essaie alors de les ordonner logiquement et d'amener cela d'abord dans un contexte externe logique, c'est d'abord subjectif. Ce n'est que lorsque nous amenons ces concepts dans un contexte intérieur de l'ensemble du monde - et ce contexte, nous devons apprendre à l'appréhender par une activité intérieure - donc quand nous remarquons qu'il y a quelque chose de spirituellement objectif qui sous-tend les choses, alors nous venons à un véritable comprendre le monde. Aussi loin que nous avons ici deux pôles : subjectif et objectif, donc là, où nous sélectionnons les choses avec notre organisme de tête, c'est pourquoi j'ai aussi dessiné ce cercle bleu autour de la pensée de raison analytique, elles deviennent d'abord subjectives. Et de la même manière, nous pouvons regarder notre patrimoine de désir, car là, où le désir devient toujours plus avidité, ce désir devient aussi entièrement subjectif, tandis quand cela décrit seulement ce qui provient des besoins corporels, et qui devient un besoin, alors l'un reçoit une certaine objectivité et exactement ce besoin objectif, qui est en fait ce dont il s'agit dans la vie de l'économie. 

La vie de l'économie, quand elle construit de plus en plus sur ce pôle subjectif de l'avidité/cupidité reçoit une dynamique qui ne peut être dominée. Aussi loin, on peut aussi de nouveau suivre les pensées aristotéliciennes, que quand la partie supérieure - donc celle qui est liée à la capacité de pensée - n'est pas en situation, justement de conduire l'humain inférieur, alors l'humain devient un esclave de lui-même, respectivement nous devenons aujourd'hui esclaves de la vie de l'économie, qui menace de tirer tout dans son domaine. Par notre organisme de tête, où nous avons le système nerveux et sensoriel de concentré, nous sommes tout de suite placés dans un environnement plus large. Nous percevons, dans une certaine mesure, le monde extérieur sensible, avec notre appareil sensoriel, la perception sensorielle nous pénètre, et parce que la perception sensorielle entre en nous, nous développons des représentations. Et ces représentations sont d'abord une fois des images que nous pouvons retenir. Il est donc très important que nous puissions retenir ces images, car c'est exactement par ce que nous pouvons comparer une image que nous avons expérimentée dans le passé, avec une image que nous vivons actuellement, que nous pouvons aussi flairer les connexions et ainsi absolument penser les choses en premier lieu. Maintenant, il y a un certain problème que ce retenir est aujourd'hui comme exagéré. On pourrait donc dire quelque chose de l'humain inférieur qui est lié avec le désir, intervient sur l'humain supérieur, donc l'élément d'avidité, qui est aussi un retenir excessif, intervient par-dessus dans la raison analytique. Et cela conduit à ce qui explique que les images, que nous avons développées, nous ne pouvons plus les lâcher et les changer. Et cela conduit à des problèmes parce que par notre activité intérieure, nous ne pouvons plus changer ces images de manière indépendante. Mais il y a d'autres humains qui ont des observations très précises de ces fonctions psychologiques. Et ces humains voient, par exemple, que nous réagissons aux images avec notre sentiment. Et c'est une observation correcte. Ressentir vient du fait que nous avons une image déterminée du monde. Nous réagissons avec notre ressentir sur l'image. Nous convoitons cette image, disons que nous aimons cette image. Donc, nous aimons cette chose que nous pouvons maintenant nous représenter, qui apparait dans notre conscience éveillée, ou nous rejetons la chose. Le sentiment est très fort marqué par la sympathie et l'antipathie. Et c'est exactement cet élément, que nous réagissons justement aux images avec nos sentiments, que la science moderne de l'économie peut utiliser et d'ailleurs on peut manipuler les humains. Nous connaissons cela de la publicité. La publicité est justement basée sur ce qu'elle nous fourni certaines images. Et ces images devraient agir sur l'âme aussi inconsciemment que possible. Les humains devraient dans une certaine mesure rêver dans ces images et le désir après une chose déterminée devrait être éveillé. On espère donc qu'à travers les images, qu'on donne aux humains, un certain produit soit désiré ainsi que les humains l'achèteront aussi. Mais ce travail de manipulation avec des images la politique s'en sert aussi. Et en fait, toute la politique moderne dite démocratique repose sur de la manipulation. Ces pensées ont justement été développées, lorsque Rudolf Steiner a présenté son idée de triarticulation de l'organisme social. Et d'une manière particulièrement perspicace. 

Ces pensées viennent à l'expression dans le livre de Walter Lippmann "Opinion publique - comment elle est créée et manipulée". Walter Lippmann a vécu de 1889 à1974. Déjà en tant que jeune homme, il était devenu conseiller auprès du président d'alors : Woodrow Wilson. En il a été nommé par lui comme conseiller. Et Walter Lippmann a aussi pu convaincre Woodrow Wilson que l'offre de paix que les puissances centrales ont présentée aux Alliés ne soit pas acceptée. Simplement parce qu'il a réalisé qu'une paix sans victoire conduirait à ce que l'Allemagne devenant économiquement puissance toujours plus forte, contrôlerait aussi de plus en plus l'Europe dans l'avenir. Et la pensée de "l'Amérique d'abord" était déjà présente dans les principaux cercles dirigeants américains de l'époque. On partait justement de ce qu'il y avait toujours un pouvoir qui doit être dirigeant. Et alors la conséquence nécessaire était que le pouvoir que l'on représente soi-même, doit être le premier. Cela a donc une certaine tradition. Mais les cours des pensées du livre "L'opinion publique" sont absolument séduisants. Et ils sont pendants avec toute la façon de penser qui s'est formée à l'ère moderne. C'est justement la pensée que l'ordre de raison analytique repose à l'expérience sensorielle. Quand on part unilatéralement de ce penser, alors il y a en fait seulement le chemin, que Walter Lippmann montre. Et ce chemin s'est poursuivi jusqu'à aujourd'hui - et cela pourrait être montré à de nombreux exemples. Walter Lippmann décrit qu'en fait chaque humain de la région du monde qu'il peut observer, construit une sorte de pseudo-environnement. Et en règle générale c'est ainsi, que l'être humain justement du domaine où il est socialisé, développe un certain nombre de concepts sur le monde, et à ceux-ci alors tient bon. Et ce pseudo-environnement, il est construit sur des observations du monde des sens, mais il y reste, il saisit seulement une partie et la rend absolue. Et en règle générale, les humains sont satisfaits avec ce pseudo environnement. Ils en développent des stéréotypes, y développent leurs sentiments et agissent d'après ce qui repose dans leur pseudo-environnement. Et maintenant, Lippmann a vu que ce n'était pas suffisant pour un gouvernement. Le gouvernant se trouve dans la même situation, qu'il dispose aussi seulement d'un pseudo-environnement. Justement ce qui est expérimenté de sa socialisation, de son environnement jusqu'à présent. Toutefois, il n'a pas, comme gouvernant, la possibilité d'investiguer maintenant tous les domaines de la vie dans lesquels il devient actif, parce que simplement le temps manque. Il doit donc s'appuyer sur des experts. Et ces experts ont maintenant la tâche dans le domaine de vie respectif dans lequel des mesures deviennent nécessaires, d'effectuer des recherches. Des services d'information doivent donc être mis en place, comme il l'appelle aussi, au nom du gouvernement, qui observent toujours exactement des domaines déterminés de la vie, qui ont un savoir dessus et, si possible, s'efforcent de faire en sorte que le pseudo-environnement, qu'a naturellement aussi un expert, s'approche toujours plus de ce domaine de la vie. Et alors ces experts peuvent conseiller le gouvernement. Et maintenant, existe cependant le grand problème, que l'ensemble des groupes de population vivent aussi dans des pseudo-environnements et, à partir de ces pseudo-environnements, développent leurs sentiments et ne comprennent pas forcément ce qu'un gouvernement qui utilise désormais son savoir d'initié et les experts, qu'il a dans un domaine déterminé, a fait connaître et remarque que de ce domaine, ceci et cela sont des mesures nécessaires et qui souvent ne peuvent être envisagées. 

C'est justement un gros problème. Il se demande donc : comment venir maintenant à une volonté de communauté, comment cela peut-il devenir possible de créer une telle volonté de communauté. Et là, il voit justement que les médias, la presse, ont une position de médiation très importante. Walter Lippmann était journaliste. Et il était l'une des personnalités les plus célèbres à son époque dans l'espace américain et dans l'espace anglais. En Europe, en particulier aujourd'hui, il est seulement connu d'experts. Mais il était vraiment une très influente personnalité. Mais parce que Walter Lippmann a réalisé qu'on a besoin de la presse, que la presse n'a pas la permission de servir de quelque manière arbitraire, les intérêts de groupes de population particuliers - parce qu’alors le chaos s'installe -, parce qu'il l'a connu, il a vu qu'on devait justement travailler à ce, que la presse développe des images de manière ordonnée, par lesquelles la population peut être guidée. Donc il s'agit de dominer la presse en de grands trains ainsi qu'elle porte des images aux humains qui agissent ainsi qu'ils peuvent approuver ce que fait le gouvernement. Pendant la Première Guerre mondiale, on a fait là beaucoup d'expériences. Tout de suite pour justifier l'entrée en guerre des États-Unis, la population d'origine allemande en Amérique devait être mue à ce que justement elle ne refuse pas cette entrée en guerre, cela allait donc contre son pays d'origine. Et c'est exactement pourquoi ce groupe a dû être travaillé ainsi qu'au moins elles ne soient pas hostiles à l'entrée en guerre et là on avait éprouvé beaucoup de possibilités de manipulation. Walter Lippmann ne voyait justement pas d'autre possibilité que d'agir de cette manière. Mais il a aussi vu la problématique. La conséquence de sa pensée a été : parce que les humains en grande partie ne dominent pas leurs images eux-mêmes, ce sont ceux qui prennent la domination sur les images, qui ont la tâche de diriger un pays. Et d'ailleurs avec l'équipe d'experts derrière eux. 

Mais Walter Lippmann a vu que cela n'allait pas sans poser de problèmes. Car la question est finalement : qui choisit donc les experts. Si les mauvais humains choisissent les experts, alors la chose peut aussi aller de travers. Elle a aussi toujours été de nouveau de travers au fond. Car aussi Goebbels dans le Reich allemand a utilisé ces méthodes dans une très haute perfection d'une manière démoniaque. La question est toujours de savoir dans quelles mains tombe cet instrument. Walter Lippmann a reconnu ce danger. De l'autre côté - dans sa pensée qu'en fait cela ne va pas autrement dans le monde réel qu'un pays prenne la direction - et d'ailleurs si possible le plus puissant pays et d'ailleurs où le plus possible les "bons" ont la position dominante - à partir de cette manière de penser, il devait alors aussi utiliser ces méthodes. Il les a alors aussi appliquées. Et d'ailleurs dans un cas très particulier. Il a notamment conseillé Woodrow Wilson sur la conception du programme en points, qui, en janvier, était alors présenté comme initiative américaine de paix. Et Lippmann savait exactement qu'avec de tels programmes des groupes très différents - et d'ailleurs pas des groupes de population, mais divers représentants de gouvernements doivent être amenés sur une ligne - on a donc vu les négociations des Alliés, on a vu les intérêts des Français, on a vu les intérêts de guerre des Anglais les intérêts de guerre propres - on a vu les intérêts des puissances centrales - et maintenant devait être formulé un programme dans lequel pour chacun de ces groupes d'intérêts est quelque chose avec quoi il peut se relier. Et il l'a fait. Le grand problème avec ce programme était toutefois qu'il ne reposait naturellement pas sur de la vérité, mais qu'il était constitué dès le départ sur de la manipulation. On voulait atteindre un objectif déterminé par des images déterminées. Et en toute fin, l'objectif était de déposer le gouvernement des puissances centrales, et le remplacer par des gouvernements qu'on peut piloter soi-même. Et c'est pourquoi les images ont dû être conçues ainsi - ce sont maintenant des images de langage qui sont façonnées par des mots -, qui étaient acceptables pour de grands groupes de population en Allemagne tandis que le gouvernement lui-même avait naturellement des difficultés avec cela, mais s'il s'y implique d'une quelque manière, cela le conduise à cette disparition. C'est ce qu'expose Walter Lippmann dans le livre "L'opinion publique". 

Et c'est exactement ce que Rudolf Steiner avait reconnu très, très tôt. Il avait rendu attentif déjà en, alors que le programme n'avait pas encore été publié, à toute cette manière de penser qui part d'Amérique et a alors toujours de nouveau des avertissements - il a écrit des mémorandums aux gouvernements autrichien et allemand - pour montrer que si on ne comprend pas ces choses, on tombera sous l'esclavage de cette façon de voir. Et Rudolf Steiner espérait justement qu'une certaine indépendance reste préservée en Europe centrale, afin que puisse se déployer une vie culturelle, qui peut former une autre forme d'être ensemble social, que celui dont l'Occident, qui représente justement très fortement la pensée à la mesure de la raison analytique, doit sortir. Aussi loin, cette simultanéité de l'apparition de ces pensées est très importante et on doit confronter ces pensées avec ce qui est la pensée de Rudolf Steiner. Maintenant, si on regarde à la fin de ce livre, alors Walter Lippmann pose aussi la question après la raison synthétique. Et il est là très sensible à Platon - il a aussi étudié la philosophie - et si cela est un peu plus simple et ordonné autrement maintenant, on peut voir que les experts ou les services d'information sont effectivement affectés au domaine de la vie de l'esprit. Le gouvernement, à qui dans l'État unitaire revient la tâche de saisir l'initiative pour toutes les questions de communauté, mais en particulier aussi pour la défense et la revendication des intérêts dans le monde du pays gouverné, doit, on le pense, choisir et déterminer ces experts. Oui, il doit être associé à construire un appareil qui justement suffit pour les informations des différents domaines correspondants de la vie. La question est alors toujours seulement si le fait le gouvernement particulier, ou si se tiennent dans l'appareil ou derrière l'appareil, encore d'autres cercles qui peuvent placer leurs experts aux places correspondantes. Les groupes de population, ils travaillent dans les différents domaines de la vie, et sont en ce sens économiquement actifs, ainsi qu'on a en fait ici maintenant de nouveau, dans une forme transformée, la triarticulation platonicienne : la population considérée au sens large comme état nourricier, le gouvernement lui-même comme état de défense, parce que le centre du gouvernement est toujours l'exécutif, et d'ailleurs le pouvoir militaire et de police. Les services d'information représentant l'état d'enseignement. Nous avons donc ici une triarticulation non transformée, qui était en fait déjà formulée par Platon sauf que nous n'avons plus les rois philosophes, dont parle Platon, mais les philosophes sont devenus des experts qui ont une certaine royauté dans un domaine partiel, et de là, prennent l'influence sur le gouvernement. 

Vraisemblablement tous les auditeurs ont une fois vécu cette vidéo dans le présent, où de telles tendances manipulatrices sont disponibles. Par exemple en politique ou surtout dans la presse. On vous demanderait, qu'est-ce qui pousse les humains qui, par exemple, vont en politique, à devenir manipulateurs de cette manière ? Pourquoi font-ils cela ? Mais plus importante encore serait la question : où portons-nous en nous-mêmes dans certaines situations, la tendance à être manipulateur ? Donc, y a-t-il des situations où nous éprouvons nous-mêmes le besoin de pouvoir contrôler des processus sociaux que justement nous commençons à intervenir dans l'autonomie d'autres humains ? Bien sûr, à peine quelqu'un voudra se l'avouer. Malgré tout nous portons en nous une forme de pensée qui pourrait conduire à ce que dans certaines situations, sans le vouloir vraiment consciemment, nous tombions dans ce manipulatif. Et nous devons nous demander, qu'est-ce donc que cette sorte de pensée qui nous y pousse ? J'aimerais en parler dans la troisième vidéo. J'aimerais montrer comment une pensée unilatéralement contrôlante dans la vie sociale s'exprime en particulier où des humains disposent d'un certain pouvoir d'affirmation dans la vie sociale. Et j'aimerais développer une image qui montre comment tout de suite l'unilatéralité de cette pensée doit à la fin conduire à la dissolution de notre démocratie. Dans la quatrième vidéo, j'aimerais montrer comment, à côté de cette pensée contrôlant tout extérieurement, une autre forme de pensée peut être placée, mais que nous devons développer consciemment. Si nous développons consciemment cette forme de pensée qui peut compenser ce que l'autre forme de pensée si elle se déploie unilatérale, fait dans la vie sociale, alors peuvent justement aussi fluer des forces créatives sociales nouvelles dans la vie. 

 

  • Vidéo 03
  • Slides (images)
  • Transcription et traduction de la vidéo


Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi il est tant manipulé en ce moment ? Donc tout de suite dans la crise de la Covid, on a toujours l'impression que la manipulation prend la main de tous les côtés. Qu'est-ce qui repose à la base ? Je prétends que la raison principale est la forme de notre propre pensée, car si à partir de cette pensée nous voulons atteindre des objectifs externes, alors nous devons amener les choses sous contrôle. Donc l'entrepreneur, il veut évidemment contrôler son entreprise. Et il veut aussi pouvoir contrôler le processus de marchandises. S'il peut le faire est encore une autre question. De préférence, il contrôlerait aussi le besoin des consommateurs. Le scientifique, à nouveau, veut contrôler la méthode scientifique et à la fin, il aimerait aussi volontiers contrôler le résultat scientifique. Le politicien, à nouveau il veut contrôler évidemment les entrepreneurs et il veut aussi contrôler les scientifiques. Pas qu'ils fassent des choses que personne ne peut plus représenter par la suite. Les démocrates, à leur tour, aimeraient à nouveau contrôler les politiciens. S'ils font des bêtises, ils devraient être démis de leurs fonctions. Et le capital, c'est évidemment, veut contrôler les entreprises. Mais il veut aussi contrôler les politiciens. Alors, il veut aussi contrôler les démocrates, comme je l'ai évoqué dans la dernière vidéo. Pour finir, il veut aussi contrôler les scientifiques et les résultats scientifiques. Donc : tous ont des besoins de contrôle.

Et la question est dans quelle forme sociale cela conduit. Nous devons y réfléchir. Alors, que se passe-t-il dans un système sociétal dans lequel tous ceux qui ne sont pas tout de suite résignés, mais qui veulent gagner en influence, tentent de tout contrôler. Alors, à la fin s'imposera celui qui dispose du plus grand pouvoir d'imposer. Nous vivons dans une démocratie moderne, on pense ainsi. Et dans une démocratie moderne, le pouvoir de l'État devrait partir du peuple. Mais est-ce qu'il part vraiment du peuple ? Johannes Mosmann a écrit dans la revue "die drei" en juin 2020, un essai extrêmement instructif sur cette question L'essai s'intitule : "Le secret du pouvoir " et il est paru dans la série : "La démocratie élargie".

Mosmann y montre que lorsque le pouvoir de l'État devrait partir du peuple, mais en même temps toutes les décisions concernant la vie sociale devraient être contrôlées démocratiquement qu'alors la base pour un pouvoir de l'élite est posée. Le peuple attend par exemple du politicien, que si le chômage augmente, il adopte des mesures, qui ont pour effet de stimuler la conjoncture et que la population trouve de nouveau plus d'emplois. Le politicien devrait donc intervenir en pilote dans la vie de l'économie. Il attend aussi, lorsque les écoles du pays par exemple tomberaient en comparaison internationale, qu'alors les politiciens réfléchissent comment améliorer le système scolaire. Pour cela, ils ont besoin d'experts. Et par les experts, rentre de nouveau, ce que j'ai déjà montré dans la dernière vidéo. Nous entrons donc dans une domination de l'élite. Jetons à cause de cela un coup d'œil sur la recherche sur les élites.

Le sociologue de Darmstadt et chercheur sur les élites Michael Hartmann a présenté son livre "Die Abgehobenen" ("Les coupés du réel"). Le livre est intéressant pour les raisons suivantes. Hartmann voit clairement que les élites de l'économie, ce sont ceux qui disposent une part importante du capital sociétal d'une économie de peuple, ils ont le plus grand pouvoir d'imposer dans une démocratie. Cela signifie que ces élites peuvent fortement influencer les processus de décision politique. Ce qu'il observe, c'est que pratiquement aucun échange entre les différentes couches sociales dans notre société n'est possible. Les principales élites dirigeantes de l'économie sont un groupe entièrement homogène. Elles occupent des positions sociales donnant la mesure en grande partie de leurs propres rangs. Il montre cela à des exemples de divers pays occidentaux. Contrairement à l'Allemagne, celles-ci construisaient sur une structure de formation qui est fortement marquée par des écoles d'élite. Qui, par ex. aux U.S.A., veut monter une entreprise importante à une position de premier plan doit avoir fréquenté une université prestigieuse. Mais cela seul ne suffit pas. Il y a certains traits de personnalité qui doivent correspondre. Et selon Hartmann, on les acquiert, par la socialisation au sein des foyers familiaux. Et cela, on ne peut pas se l'approprier. Ce sont ces caractéristiques d'origine qui font que les membres de l'élite se reconnaissent entre eux. Et elles donnent en fin de compte l'élément décisif, si l'on est à élever à une position dirigeante ou non. Pour cette raison les élites de l'économie forment dans tous les pays examinés par lui de la même manière un groupe homogène, égal si des écoles d'élite sont disposées ou non dans la structure de formation. Le problème, qu'il voit, est que ces groupes s'éloignent toujours plus loin de la population et souvent éveillent justement l'impression comme s'ils étaient au-dessus du droit. Les scandales, comme cela a été le cas au cours des dernières décennies, qu'on pense seulement aux documents de Panama ou aux Paradise Papers, ou à diverses arrestations de fonctionnaires économiques à cause de fraudes fiscales. Hartmann montre aussi dans son livre que les élites économiques sont profondément enracinées dans leurs pays d'origine. La représentation d'une élite globale, il la rejette. Une étonnante observation de Hartmann est que la plupart des cadres examinés par lui ne disposaient pas encore une fois d'un séjour prolongé à l'étranger dans leur biographie de formation. Les élites économiques ne vivent justement pas dans la jet set internationale. Ils vivent dans leur espace culturel. Hartmann veut rendre clair, que des processus de changement politique dans la démocratie au niveau national sont très volontiers possibles. Et il voit des porteurs d'espoir. Ainsi il reconnaît dans l'élection de Jeremy Corbijn en Grande-Bretagne au sein du parti travailliste que là, les anciennes structures changent et il espère clairement dans le livre que Jeremy Corbijn plus tard, puisse aussi venir au pouvoir de gouvernement. Aussi dans Bernie Sanders comme un possible candidat à la présidence des États-Unis il voit un porteur d'espoir. En attendant, il a pu être désillusionné. Parce que deux ans après la publication du livre ces personnalités ont disparu de la scène. Les élites du pouvoir ont mis leurs moyens en service pour s'en débarrasser. Mais maintenant, l'idée de base est qu'il n'y aurait aucune élite économique mondiale n'est absolument pas fausse. Toutefois, il faut donc penser un peu différemment de Hartmann. 

Ce que Hartmann justement ne fait pas est que la pensée qu'il a développée lui-même, à savoir celle du pouvoir d'imposer, il ne l'utilise pas sur le plan international de la concurrence entre les nations. Il devrait quand même se demander quelle élite économique nationale a le plus grand pouvoir d'imposer au niveau international. Il se montrerait rapidement que ce sont les élites économiques américaines-US. Car elles se sont créées pour cela les formes d'organisation les plus efficaces. Elles sont actuellement dans la situation d'imposer leurs intérêts avec la plus grande puissance. 

J'aimerais donc présenter notre actuel modèle de démocratie d'une brève esquisse graphique. Et ce faisant, je me rattache de nouveau à la structure d'image que j'ai déjà une fois utilisée dans la dernière vidéo. Cette structure d'image peut justement être un appui, aux nombreuses pensées que l'on doit placer les unes à côté des autres, pour une première fois pouvoir les tenir ensemble de manière ordonnée. C'est comme un échafaudage qu'on se construit avec lequel on peut grimper aux différents endroits et les observer et ne rien perdre de vue. Si on a exercé, à regarder les différents domaines et à comprendre, alors on peut aussi démonter l'échafaudage et penser cela de différents autres côtés. Eh bien, tout d'abord, les démocrates croient que lorsqu'ils remplacent le monarque institué par la grâce de Dieu par un gouvernement démocratiquement élu, ainsi serait réalisé que le pouvoir de l'État partirait du peuple. Aujourd'hui, les démocrates croient comme le chercheur de l'élite de gauche que je viens de citer Hartmann, pouvoir atteindre cet objectif par ce biais, si un mélange plus élevé lors de la formation du gouvernement est respecté. Cela correspond à la représentation que seul quand le parti correct avec le programme correct aux élections conquiert la majorité, les choses iraient mieux. Les partis placeraient les membres du gouvernement de leurs propres rangs et feraient attention qu'aussi un mélange correct des couches de la population soit garanti. 

Mais là maintenant aussi des gouvernements choisis/élus ainsi, de différentes couches mélangées de la population restent maintenant exactement ainsi responsables pour les questions de la vie de l'économie et de la vie culturelle, ils continuent à rester dépendant d'experts. Et afin que là rien n'aille de travers et que le gouvernement ne fasse aucune lois qui contredise le sentiment de la majorité, on croit au moins que tous les partis représentés au Parlement devraient contrôler le gouvernement et alors approuver les lois présentées et finalement on a comme dernière instance de contrôle encore une cour constitutionnelle, qui peut aussi encore une fois vérifier si tout s'est passé conformément au droit et à la loi. Cela ne fonctionne qu'en théorie. Il y a donc quand même les différentes strates/couches de la population. Et une couche de population, on peut la désigner avec le synonyme "le capital" - et par capital, j'entends maintenant les élites, qui peuvent contrôler la majeure partie d'une économie de peuple. Ce capital continuerait quand même à prendre de l'influence, que par exemple, les experts corrects conseillent le gouvernement. Il continuerait à veiller à ce que les prometteurs jeunes membres de parti dans les programmes pour jeunes leaders et semblable soient formés en responsables politiques dociles. Et ces managers politiques seront au moment opportun, par des partis qui cherchent d'urgence du personnel ayant des qualités de direction, amenés aux postes correspondants. Justement ainsi le capital pourvoirait à ce que de l'influence puise être prise sur l'opinion publique.

Car de Walter Lippmann, comme montré dans la dernière vidéo, on a appris comment l'opinion publique peut être pilotée justement ainsi, qu'aussi seuls sont élus ceux qui prennent les décisions correctes. Si un jour les faux humains sont élus dans certains pays, ainsi on a des tels mécanismes de sanction sous la main, qui permettent très rapidement de s'assurer que ce gouvernement soit de nouveau démis/balayé de ses fonctions. Donc le capital a la possibilité de prendre influence sur l'opinion publique de la manière la plus massive. Il doit seulement fabriquer les images correctes. Les sentiments, qui alors apparaissent dans les larges masses par ces images, guideront celle-ci ainsi, que les décisions correctes viennent "démocratiquement" en l'état. Les élites nationales avec leur pouvoir d'imposer attaché à leur capital en en rapport à la politique intérieure, s'orienteraient cependant quand même encore aux intérêts du capital, qui dominera le devenir économique international le plus fortement. Mais cela signifie qu'il n'y a pas de conspiration mondiale d'une élite internationale. Mais cela fonctionne tout autrement. Les élites sont, comme Hartmann l'observe correctement, liées nationalement. Mais ce qu'il y a est une forme de la pensée qui s'est imposée dans les temps modernes dans le monde entier. 

De cette forme Hartmann se sert du reste aussi, respectivement les dirigeants de parti qu'il privilégie lorsqu'ils veulent mettre en œuvre leurs objectifs. Et cette pensée pousse les humains à amener les choses sous contrôle. Cette pensée œuvre du reste aussi extrêmement fort dans le mouvement environnemental aujourd'hui. On veut que l'environnement ne soit pas détruit. Et veut l'amener sous contrôle scientifiquement par cette pensée. Mais cela va finalement seulement par des méthodes de manipulation. Et la manipulation enclenche toujours au propre intérêt de l'humain. Les élites allemandes, françaises, anglaises ou autres ne poursuivent aucun plan manigancé. Elles poursuivent leurs propres intérêts. Elles doivent seulement observer ce qui, sur la scène internationale, est, dans une certaine mesure, en vogue. Ça doit quand même le plus souvent être prétexté par des intérêts du capital qui sont concentrés en Amérique du Nord. Car, et j'ai donc évoqué cela dans la dernière vidéo, ces derniers ont été à même dans le temps après la Première Guerre mondiale jusqu'à aujourd'hui de construire la plus efficace des formes d'organisation afin de prendre aussi influence à leur manière sur l'économie et la politique mondiales et pouvoir justement contrôler celles-ci. 

Pour finir, de nouveau une petite demande pour penser avec. Vous vous souvenez sûrement au début de la deuxième vidéo. Là, j'avais développé le schéma suivant. J'avais caractérisé l'humain inférieur et supérieur. L'humain supérieur sur le saisir respectivement le connaître que je métamorphose dans deux directions - vers la saisie à mesure de raison analytique et vers l'appréhension spirituelle des contextes/pendants dans le monde - et l'humain inférieur, que j'ai développé de la métamorphose du désirer qui se métamorphose d'après l'une direction d'après la cupidité et d'après l'autre direction, là où le corps a besoin de soins objectifs, métamorphosés d'après le besoin. Demandez-vous, quand même une fois, comme actuellement, si surpuissant, le besoin après du contrôle et de la manipulation est pendant avec ce que l'humain avec sa vie de l'âme dans ce domaine, qui est concentrée autour de la pensée de mesure de raison analytique et l'avidité d'âme et posez-vous la question si cela pouvait être pendant avec la forme actuelle de la pensée et vers quelle direction on devrait travailler afin qu'ici une transformation en direction de faculté d'avenir devienne possible. C'est exactement ce dont j'aimerais parler dans la quatrième vidéo. J'aimerais montrer pourquoi Rudolf Steiner, au milieu de la Première Guerre mondiale, dans une certaine mesure en toute tranquillité de l'âme - tandis qu'il conseille d'un côté les premiers humains, qui lui demandent, en direction de la triarticulation - continue de travailler à ses écrits épistémologiques et rédige un livre qui s'appelle "Des énigmes de l'âme", qui est extrêmement exigeant à penser. Et j'aimerais montrer que cela a très volontiers à faire avec le développement de l'idée de triarticulation. On pourrait peut-être dire : l'organisme social ne peut actuellement pas du tout de se différencier en trois membres autonomes, parce que la pensée, qui sera appliquée dans ces trois domaines est seulement active contrôlant unilatéralement.

 

  • Vidéo 04
  • Slides (images)
  • Transcription et traduction de l'ancienne vidéo

ATTENTION : la vidéo originelle a été supprimée et remplacée par celle-ci. Il n'existe plus de sous-titres en français pour cette vidéo (ils avaient été traduits par François Germani). 

Actuelelment il n'y a pas de diaporama (slide) en langue française pour cette vidéo.


NDLR : la vidéo originelle ayant été supprimée et remplacée par une nouvelle, il n'y a plus de transcription réalisée en langue française par François Germani. Ci-dessous vous trouverez la transcription en français de l'ancienne vidéo...


Dans la dernière vidéo, j'ai expliqué comment la pensée contrôlante, organisant, est devenue toujours plus puissante et puissante dans la vie sociale du présent. Et celle-ci s'affirme désormais de manière carrément dictatoriale. Dans cette vidéo j'aimerais maintenant aller sur les traces des causes. Il serait important de remarquer que chacun de nous porte en lui la disposition au contrôle des autres. Elle peut, dans certaines situations, venir plus fortement au premier plan et d'ailleurs lorsque nous voulons obtenir quelque chose dans la vie extérieure. Ici quelque chose entre en jeu que j'ai déjà souligné dans la dernière vidéo. Et d'ailleurs en rapport avec ce graphique, qui décrit l'interaction entre l'humain supérieur et inférieur. L'humain supérieur, il vit dans les forces de la connaissance. L'humain inférieur, il vit dans les forces à partir desquelles nous agissons dehors. Cela signifie pouvoir mettre en œuvre quelque chose dans la vie. Si nous apprenons à mieux comprendre comment humain supérieur et inférieur travaillent ensemble, alors nous pouvons travailler à comment les deux peuvent être amenés en une harmonie correcte.

J'aimerais jeter en premier un coup d'œil sur comment nous nous plaçons dans le monde en tant qu'humain connaissant.
Tout d'abord, nous sommes placés dans l'environnement extérieur par notre corps. Nous faisons l'expérience de celui-ci par la perception sensorielle. Mais ce monde sensoriel nous pouvons seulement l'expérimenter consciemment, parce que nous apportons ces concepts en vis-à-vis. Cela n'est tout d'abord pas conscient à l'humain vivant dans la conscience ordinaire. Les perceptions sensorielles stimulent cependant en à lui une activité, par laquelle il se rend conscient des phénomènes particuliers et peut les rattacher entre eux. Ses images de représentation sont par cela toujours un résultat de la perception et du concept. 
Rudolf Steiner a éclairé ces pendants en détail dans son œuvre épistémologique, en particulier dans la Philosophie de la liberté parue en 1894. L'édition de 1814 porte le sous-titre : "Résultats d'observations selon la méthode de science de la nature". En 1918, lors de la nouvelle édition, il complète cela avec "Résultats d'observation par l'âme selon méthode de science de la nature". La pensée est une activité de l'âme. Il vaut de rendre celle-ci consciente par l'observation par l'âme. Dans notre conscience ordinaire, nous vivons dans nos images de représentation. Celles-ci sont dans notre conscience éveillée. D'une certaine manière, nous veillons dans nos images de représentation. Notre sentir - là-dessus j'ai déjà indiqué dans les dernières vidéos - est enflammé par ces images de représentation. Nous désirons ce que nous vivons dans la représentation ou nous le déclinons. Ce sont donc des forces de sympathie et d'antipathie, qui s'allument aux images de représentation. Mais ces sentiments, nous ne les vivons pas aussi éveillés que nos images de représentation : elles déterminent certes notre impression d'âme, mais nous rêvons dans nos impressions. Maintenant, il y a encore quelque chose dans notre conscience ordinaire, au sujet de laquelle nous dormons complètement. C'est l'activité pensante. Pour cela nous dormons, elles ne reçoivent pas notre activité avec. Nous avons notre contenu de pensée dans notre conscience, mais pas notre activité connaissante elle-même. Et cela vaut aussi pour le scientifique de la nature, surtout s'il n'aspire pas à se procurer une conscience critique de sa propre activité connaissante. Il vit consciemment dans ses contenus de pensée ; comment il pense, l'ensemble de la façon et la manière de comment il gère cela, cette affaire de la pensée, cela il le dort. Maintenant, les succès de la pensée moderne de science de la nature reposent sur ce qu'elle vérifie les connexions qu'elle a produites par des expériences dans le monde sensoriel. Ce que l'on croit avoir saisi comme pendant de loi de la nature se laisse-t-il prouver dans une expérience et une telle expérience peut-elle se répéter à tout moment, alors un tel pendant vaut pour vrai. 
Au moins aussi longtemps que personne ne peut prouver quelque chose d'autre. Mais finalement, par cela, la manipulabilité du monde à l'égard du critère de vérité donnant la mesure sera soulevée. Et ici je suis exactement au point où je voulais en venir.

 À l'époque moderne, notre pensée prend elle-même une forme, qui conduit dans la manipulabilité. Mais il est absolument possible, en pensant, de prendre d'autres chemins. Mais cela repose sur ce que nous nous rendions conscientes, les possibilités de notre propre pensée. Pour cela, nous avons justement besoin de la faculté d'observation psychique/d'âme, et nous pouvons seulement y parvenir avec la pensée quand nous augmentons notre propre activité. Cela est justement seulement possible par un acte fait librement. Personne ne peut me forcer à le faire. C'est la connaissance centrale de la philosophie de la liberté que nous trouvions un point dans la pensée, d'où peut partir une activité, dont nous pouvons être sûrs qu'elle n'est pas déterminée par quelque chose d'étranger. La conscience ordinaire de science de la nature travaille avec les représentations des sens de la manière qu'elle tente de définir avec précision ce qui est, et rattache les éléments ainsi saisis alors d'une manière qui permette une prise en main technique du monde. Mais ne sait pas, comment elle produit les représentations techniques. 
Mais l'activité pensante peut aussi procéder d'une manière différente avec les représentations. Au lieu de les amener dans un contexte technique, elle peut tenter d'éprouver des contextes de la vie. Par exemple pour se plonger dans la croissance d'une plante, pour la refaçonner plastiquement dans une certaine mesure. Il s'agit tout d'abord d'une activité subjective. Elle semble contredire la pensée de science de la nature sur une définition précise de ce qui se laisse objectivement découvrir dans l'observation sensorielle. On pourrait penser que seule cette manière de procéder serait objective. Mais il y a encore une autre sorte d'objectivité. Cette sorte d'objectivité repose aussi bien dans l'objectivante activité de science de la nature, qu'aussi à la tout d'abord plastique subjective activité de pensée. Nous avons donc une objectivité sur une autre étendue. On doit se travailler à cette objectivité. À celle-ci je peux aussi seulement correctement avancer que j'apprenne à observer psychiquement/d'âme ce que je fais, pendant que je pense. Ainsi, l'observation d'âme se tient en vis-à-vis de l'observation par les sens. Toutefois je peux parvenir à cette forme supérieure d'objectivité seulement par un processus d'exercice. Rudolf Steiner a encore et toujours de nouveau éclairé épistémologiquement et décrit ce processus dans lequel l'observation d'âme doit être renforcée. En dernier, en 1917, dans sa publication "Des énigmes de l'âme". Cet écrit accompagne dans une certaine mesure l'idée de la tri-articulation de l'organisme social, avec lequel il alla en 1917, pour la première fois, aux principaux dirigeants politiques, comme l'empereur Charles d'Autriche par le chancelier, Arthur Polzer-Hoditz, ou le Prince Max de Bade et quelques autres politiciens. C'est justement cet écrit qui accompagne, dans une certaine mesure, cette idée de tri-articulation du côté épistémologique. On pourrait maintenant se placer sur la position : ce n'est quand même pas si important, c'est pour des humains qui veulent le savoir très exactement. Mais c'est important. C'est très, très important. Parce qu'il est montré ici un chemin qui peut seulement être pris dans la liberté. Et il rend possible de secouer de nouveau les chaînes que nous met la pensée moderne de science de la nature. Parce que si se débarrasser de ces entraves ne réussit pas, l'humain vient toujours plus sous le joug d'un concept de science unilatéral, à partir duquel tous les domaines du monde devraient être contrôlés. Nous sommes actuellement sur la meilleure voie vers là.
Il s'agit donc tout d'abord de placer, en vis-à-vis de l'élaboration à mesure de raison analytique reposant sur le monde sensoriel, une pensée qui entre dans une fréquentation plastique interne libre avec les représentations. Et d'ailleurs des représentations qui ont été à l'origine formées au monde sensoriel. Par cette activité plastique des pensées, l'âme commence notamment à buter à quelque chose intérieurement, c'est-à-dire elle fait dans une certaine mesure une expérience intérieure de tâtonnement. Elle sera interrogée sur ce chemin, sans que, ce qu'elle appréhende là, elle puisse tout d'abord le saisir avec acuité. Graphiquement, j'ai essayé de représenter ce processus dans une lemniscate. Donc je me meus. d'en bas par le saisir dans une direction inverse vers le penser appréhensif et revient alors à la pensée à mesure de raison analytique et développe à cela des concepts qui se laissent aussi absolument de nouveau appliquer au monde sensoriel, en ce que je peux saisir celui-ci d'une manière différente. Le saisir ne se dirige maintenant pas purement sur le monde extérieur des sens, mais sur un intérieur qui toujours plus intérieurement bute à un extérieur-spirituel. Par cela, surgissent en nous - dans notre âme - des images conceptuelles intérieures. Et ces images conceptuelles ne sont pas rigides comme les concepts de science de la nature, mais elles sont mobiles. Et l'âme doit être dans cet apprendre à vivre dans ce mouvoir qu'en ce qui concerne la tendance intérieure à façonnement, elle apprend à toujours mieux comprendre celle-ci. Elle plonge donc dans un processus intérieur de façonnement. Cela nous est très inhabituel. Mais quand nous faisons cela, quand nous vivons dans ces façonnements, et alors de nouveau abordons au monde des sens, alors nous commençons soudainement à vivre ce qui aussi est efficace façonnant dans ce monde des sens. C'est l'une des autres façons de connaître le monde que par la façon unilatérale de science de la nature, qui absolument a sa justification. 

Rudolf Steiner appelle maintenant "Anthropologie", dans "Des énigmes de l'âme", cette science reposant sur l'observation par les sens et l'élaboration à mesure de raison analytique de ces mêmes. Et la science basée sur l'observation d'âme, il la décrit alors comme anthroposophie. Dans l'anthroposophie, des concepts mobiles sont développés, qui seront réceptifs pour des impressions spirituelles. Les concepts-image apparus ainsi peuvent aussi être décrits comme imaginations. Ces imaginations, elles sont d'abord absolument subjectives, on doit se rendre cela clair. Mais elles peuvent être augmentées dans un processus de pensée plastique continu à une objectivité toujours plus grande. C'est l'unique mouvement qui existe entre les pôles des raisons synthétiques et analytiques, un va-et-vient dans un processus d'exercice. J'ai tenté ici une fois de concevoir graphiquement comment un tel rehaussement à une objectivité plus élevé est possible. C'est toujours juste une tentative. Comme je l'ai dit, un tel graphique est plus à comprendre comme une carte afin que nous recevions une orientation vers à quel endroit nous devons réellement regarder.
Car le domaine que nous décrivons ici est complexe. Donc, nous pouvons dire que l'anthropologie, donc ce qui rassemble toutes les sciences - dans le sens des concepts donnés ici de Rudolf Steiner dans "Des énigmes de l'âme" - donc tout ce qui repose sur une élaboration à mesure de raison analytique de l'observation sensorielle, elle repose sur des concepts fixes, sur des définitions, qui sont reliées entre elles de manière externe selon les lois de la logique. Donc, ces concepts sont figés, ils sont paralysés. Mais c'est une nécessité, et elle est suspendue avec notre organisation des sens. Car exactement notre organisation sensorielle provoque que nos concepts, tandis qu'ils se lient avec la perception sensorielle, sont paralysés. C'est en fait une condition de notre liberté. Nous devons de cette manière nous détacher du monde sinon nous n'avons aucune possibilité, de nous lier nouveau avec le monde. Mais en ce que maintenant j'apprends de cette manière à détacher les concepts de la perception sensorielle, et dans un un processus libre, interne de façonnement de nouveau les revitalise, c'est-à-dire les fluidifie de nouveau, les ressort de la solidification, les transfère du solide à un élément liquide, en ce que je fais cela je prépare la réceptivité pour des impressions spirituelles. Cela signifie donc, des concepts ainsi transformés deviennent des organes spirituels de perception. 
Mais maintenant, il y a un domaine commun, sur lequel l'anthropologie et l'anthroposophie peuvent trouver ensemble. Et c'est le domaine de la logique. Car le scientifique de la nature doit admettre qu'il ne peut retirer les lois de la logique de la nature par l'observation. Il doit lui-même se trouver sur un chemin spirituel. Mais il l'applique à la nature. Et par cela, il peut alors amener la nature en un ordre intérieur, et d'ailleurs dans un tel ordre, par lequel il peut alors faire quelque chose, respectivement même manipuler la nature. J'aimerais maintenant détourner le regard de l'humain qui connaît et le diriger vers l'humain qui agit. Donc je passe maintenant du domaine supérieur du graphique dans le domaine inférieur du graphique. 

Et ici, j'aimerais jeter un coup d’œil sur l'entrepreneur. Et d'ailleurs parce qu'en fait j'aimerais éclairer l'idée de la tri-articulation principalement de la perspective économique. On pourrait naturellement aussi voir sur d'autres activités qui ne sont pas entrepreneuriales et économiques. Pourtant, pour moi, il y a une raison particulière de pousser l'activité entrepreneuriale au premier plan. Donc avec l'activité entrepreneuriale l'entrepreneur se place dans la vie de l'économie. Il devient actif parce qu'il reconnaît que quelque part dans le monde, il y a un besoin, et ce besoin peut être satisfait par son activité. C'est-à-dire, il produit des marchandises ou des prestations de services, pour les besoins d'autres humains. Et plus cela lui réussit, plus ce qu'il fait est accepté par les autres, plus il aura de succès dans la vie. Mais maintenant notre vie de l'économie, tout de suite par la pensée de science de la nature appliquée, a pris une énorme dynamique de développement au cours des dernières années. Et cette dynamique de développement, nous devons le remarquer, devient de plus en plus menaçante. Car elle est basée sur une certaine unilatéralité. Elle repose sur la pensée qui devient active en organisant et contrôlant. Et cela repose sur, en ce que vers l'extérieur, on tente toujours plus de conquérir des marchés, donc comme si on était en guerre dans la vie de l'économie. Pourtant, la vie économique à quand même la tâche de servir d'autres humains, ainsi que tous peuvent satisfaire leurs besoins. Donc, sur la base de la pensée de science de la nature, on a pu développer des méthodes dans la vie de l'économie, par les procédures d'entreprise efficacement organisées et contrôlées. Cela signifie que l'ensemble de la pratique économique se base sur une pensée qui s'oriente unilatéralement à l'observation par les sens. Et la question est si nous pouvons encore placer quelque chose d'autre en vis-à-vis. Je pense que oui. Car cette pensée reposant sur l'élaboration à mesure de raison analytique de l'observation sensorielle, qui maintenant est transférée dans l'action, doit maintenant pouvoir être complétée par une autre pensée. Je ne pense pas que la pensée organisatrice et contrôlant devrait être abolie. Cela ne va pas. C'est justement nécessaire ainsi. 
Mais elle doit être amenée dans un équilibre avec une autre pensée. C'est celle-ci que j'aimerais montrer ici. Et d'ailleurs par une pensée telle qu'elle ne place pas les procédures propres à l'entreprise au centre, que l'on peut donc bien organiser et avant tout aussi contrôler, mais les processus macroéconomiques liés aux marchandises. Cela est à nouveau inhabituel. Et ces processus de marchandises, on peut seulement les saisir par des concepts-image qui sont très similaires aux imaginations décrites ci-dessus. Ils ne sont pas des perceptions suprasensibles. Celles-ci ne sont pas nécessaires pour la vie de l'économie. Mais d'après la forme, elles sont semblables aux imaginations. L'entrepreneur doit donc apprendre, à comprendre les processus de marchandises à force d'images. Maintenant, il existe ici un problème, mais en lequel repose aussi une possibilité. Car il n'est pas possible à l'entrepreneur de comprendre objectivement ces processus de marchandises à partir de sa perspective d'entreprise. Alors, ils deviennent toujours unilatéraux. 
Il doit donc les compléter par d'autres perspectives. Et ce sont les autres participants de l'économie. Tout d'abord les autres entrepreneurs, les commerçants, mais aussi les consommateurs. Les différentes perspectives doivent être prises en compte lorsque je veux recevoir une image englobante des processus économiques de marchandises. Et pour cette raison il est nécessaire de construire des organes communautaires, qui ont la tâche de rassembler les observations sur les processus de marchandises de différentes perspectives. Rudolf Steiner appelle ces organes économiques communautaires associations. Elles doivent être parfaitement indépendantes d'organes politico-démocratiques. Les questions de la régulation ne se tiennent là aussi absolument pas au premier plan. Car ces organes communautaires économiques sont en première ligne des organes de perception. Naturellement, des votes pourront aussi être nécessaires. Mais ceux-ci doivent alors être faits d'humains qui sont spécifiquement concernés par les régulations et non par une institution politico-démocratique. Mais ces organes peuvent se former en premier lorsqu'un certain nombre d'humains se rend sur le chemin de former une telle pensée imaginant les processus de marchandises. Et ici, repose aussi la nécessité que dans le début d'un tel processus se tienne un acte de liberté. Sans un tel acte de liberté, l'organisme social ne s'articulera pas en trois organes communautaires indépendants. 
Donc nous avons besoin ici d'une pensée imaginant les processus de marchandises. Maintenant, si un certain nombre d'humains sont prêts, en une telle liberté, à entamer un tel processus de développement individuel, qui commence par la transformation de la pensée, alors il travaille aussi sur le côté spirituel, ce qui signifie que là, il y commence à développer une vie de l'esprit libre. L'entrepreneur maintenant, qui a à l'œil simplement le succès de sa propre entreprise, il n'est pas libre. Il suit simplement les nécessités extérieures. Et cela concerne aujourd'hui en en particulier les petites et moyennes entreprises. Car il se montrera dans le prochain temps que cela conduit dans une dépendance toujours plus grande - nous sommes déjà maintenant dans une grande dépendance - à l'égard des grandes entreprises dominées par le capital international. Et la façon dont la politique se forme/structure qui se tient massivement sous l'influence de ce capital international, ne contribuera pas à changer cela. Ces grandes entreprises, et le capital se tenant là derrière, a un insaisissable pouvoir à imposer. Et ce pouvoir d'imposition peut en premier être contré, lorsque de petites et moyennes entreprises se réorganisent sur les bases d'une autre pensée, respectivement s'associent. Parce qu’organiser cela de l'extérieur avec la pensée conventionnelle, ça ne fonctionnera pas. 

Donc, le succès à une telle édification d'organismes communautaires associatifs, il est dépendant de ce que nous développions une autre forme de pensée. C'est ce que je voulais montrer dans cette vidéo. Je voulais donc montrer, comment les humains connaissant et agissants peuvent œuvrer ensemble pour pouvoir se développer des organes de communauté économique. Et dans la prochaine vidéo, je veux alors montrer que ce processus s'accompagne d'un processus parallèle qui conduira aussi nécessairement à des organes de la vie de l'esprit indépendants.

 

  • Vidéo 05
  • Slides (images)
  • Transcription et traduction de l'ancienne vidéo

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Le sujet de cette vidéo est la santé mondiale et l’enseignement social catholique. Il est issu de la préparation d’un séminaire que j’aurais volontiers fait à Vienne et à Graz, mais où il n’était pas possible de voyager en raison du confinement. Aussi avons-nous très spontanément conçu un webinaire et, en outre, encore invité des amis supplémentaires. J’ai tenu là des conférences sur internet que j’utilise dans cette vidéo et par là, j’ai aussi été un peu restreint dans la conception de cette vidéo. J’ai dû notamment me rabattre sur les éléments que le logiciel de webinaire m’a rendus disponible et fournis comme fichier de sauvegarde et qui ne furent pas si faciles à éditer. Pourquoi le sujet de la santé mondiale et l’enseignement social catholique ? Cela est lié à un livre qui a été publié en juin 2020 et d’ailleurs par Klaus Schwab et Thierry Malleret. Klaus Schwab est le fondateur du Forum économique mondial : c’est maintenant la plus grande plate-forme pour la collaboration privée. Il se rencontre dans ce forum économique mondial, annuellement, les personnalités dirigeantes du monde politique et de l’économie et pour cette raison naturellement, quand quelqu’un publie un tel livre, c’est clairement que derrière ces idées se tient une tout autre force d’affirmation. C’est pourquoi j’ai voulu que ce livre soit plus précisément éclairé. En allemand, il est appelé « Covid 19 le grand bouleversement » et il est maintenant montré que si nous aimions prévenir le changement climatique dans les prochaines années qu’alors justement une très grande transformation de l’économie mondiale devient nécessaire. Tout cela sonne très bien, ce qui, dans le livre, est formulé. 

Il est parlé des grands thèmes sociétaux. Il est parlé de la dissolution du néolibéralisme. Il est parlé de nouvelles formes de l’être ensemble social en tous lieux, ça sonne bien et si on s’y connaît un peu avec la terminologie alors on remarque que les termes que Schwab et un co-auteur utilisent sont aussi utilisés dans l’enseignement social catholique. Pour cette raison, je les ai aussi suivis un peu plus loin et ai vu qu’il y a là des parallèles. Ce livre a, entre-temps, été fort critiqué, par exemple, l’activiste indienne Vandana Shiva, militante de l’environnement critique que lorsque les firmes qui se tiennent derrière le forum économique mondial justement sur l’agrobusiness de la l’industrie chimique mettent en œuvre ce qu’elles publient sur la plate-forme du forum économique mondial, alors elles atteignent le contrôle sur l’ensemble de l’alimentation mondiale. La raison invoquée est qu’en agissant ainsi par un monde entier au rythme croissant de population, on veut s’assurer la sécurité. La réalité, naturellement, est que les humains deviennent de plus en plus dépendants de ces firmes qui alors contrôlent tout. Mais aussi au sein de l’Église catholique se font de violentes critiques. Toutefois, dans un courant, qui se tient maintenant dans un litige fort avec un autre courant qui soutient exactement la même approche et j’aimerais le montrer de suite.

-LA LETTRE AU PRÉSIDENT-
Et j’ai ici, par exemple une critique que j’ai examinée de très près. C’est la critique de l’archevêque Vigano qui a déjà introduit un appel en mai, avant que ce livre ne soit publié. Vigano s’est opposé avec la plus grande fermeté à ce que Klaus Schwab a écrit aussi dans son livre. Seulement le premier appel : «  la vérité vous rendra libre » en allemand pense, le livre, n’était pas même encore là et quand le livre est sorti, il a encore une fois brièvement avant l’élection, écrit une lettre à Donald Trump et aussi cette lettre remue justement beaucoup d’humains très étrangement parce que maintenant, naturellement, il est clair qu’au moment, Donald Trump est vraiment le sauveur politique ou le rocher dans le traitement d’une tempête déclenchée maintenant par ce livre « Covid 19, le great reset ». Donc cette orientation à Donald Trump peut très étrangement remuer, encore plus étrange peut être la langue concernant la même chose de cet évêque qui était nonce aux États-Unis et a été nommé par le pape Benoît, donc Joseph Ratzinger. Donc c’est ce langage, que l’on connaît aussi des encycliques, qui se ressent très ampoulé, où des choses sont accentuées « Comme je vous l’ai déjà écrit en juin dans ma lettre, nous nous tenons à ce moment historique où les forces du mal, dans une bataille sans fin contre les forces du bien. Forces du mal puissantes et semblant organisées comme s’opposant aux enfants de la lumière qui sont désorientés et désorganisés et laissés en déshérence par leurs dirigeants matériels et spirituels ». Alors là donc, beaucoup d’humains débranchent, mais la question est de savoir si les points de critique que maintenant Vigano et qui, oui, à maintenant dans l’église catholique de forts soutiens comme le cardinal Gerd Müller qui, jusqu’en 2017, était encore Préfet de la Congrégation de la doctrine de la foi de l’Église catholique, était donc le plus haut dirigeant de la foi, ce sont des mondes qui nous sont étrangers en règle générale, à moins que vous ne reposiez très fort dans un milieu catholique. Maintenant, Vigano écrit dans la lettre que le but de la réinitialisation est l’imposition d’une dictature sanitaire qui tombe sur la promulgation de mesures liberticides qui se tiennent derrière la promesse d’accorder un revenu de base inconditionnel et à la remise universelle des dettes. Le prix pour ces concessions du le fonds monétaire international sera la renonciation à la propriété privée et à l’application du programme de vaccination, parrainé par Bill Gates en lien avec les plus importantes sociétés pharmaceutiques contre le covid 19 et covid 21. 

En dehors des énormes intérêts économiques qui animent les partisans du grand reset, l’introduction de la vaccination ira avec l’exigence après un passeport de santé et une carte d’identité/laissez-passer numérique avec par cela un suivi de contact possible, permanent de la population mondiale d’ensemble ». Jusqu’ici je suis passé par ces points, et je vais à divers endroits maintenant simplement les vérifier sur la base de ce qui est écrit dans le livre Covid 19 par Schwab et son co-auteur Thierry Malleret. Je pense qu’il était plus pour le design et la communication du contenu. Ce que ceux-là ont mis là.

-LE PAPE ET LE GREAT RESET-
Et maintenant vous pouvez voir que dans l’Église catholique émergent les mêmes formulations que dans le livre. Le pape se positionne actuellement et dit que bien sûr, nous devons vacciner l’ensemble de la population et le pape a également envoyé une lettre aux membres des mouvements et organisations, mais parlé en avril d’un revenu de base qui est en fait introduit dans le monde entier, mais si on regarde encore à un endroit, le pape se place et dit oui nous devons trouver un remède pour le terrible petit virus, mais nous devons trouver un remède beaucoup plus grand contre l’injustice sociale, pour l’égalité des chances, etc., le manque de protection des plus faibles. Et c’est une grande préoccupation et ce pourrait être, à nouveau, un revenu de base inconditionnel dans le monde entier le bon chemin et il se déplace dans la même direction que les explications du livre « Le grand reset ». C’est donc déjà écrit dans l’introduction que cela pourrait mener à des changements, qui avant l’apparition de la pandémie, semblaient inimaginables par exemple comme de nouvelles formes de politique monétaire telles que l’argent hélicoptère déjà sur la table l’examen de la timidité de certaines de nos priorités sociales et l’intensification de la recherche du bien commun comme objectif politique, le concept d’honnêteté de l’influence politique remporte une victoire radicale sur l’aide sociale et des mesures fiscales et des mesures drastiques pour un nouvel ordre géopolitique donc il aspire à cela, et maintenant il est intéressant que le courant dans l’Église catholique autour de ce nonce Vigano et de l’archevêque Gerd Müller, qui tous ont encore été nommés par le pape Benoît retiré, mais encore vivant, s’y opposent, c’est-à-dire nous avons une très forte véritable lutte d’orientation dans l’Église catholique qui, en même temps, est aussi influencée par l’émérite et par le pape en exercice. Et cela rend la chose, je pense, très passionnante. Mais maintenant, ce n’est pas ainsi que quelqu’un observe quelque chose juste comme un problème. En conséquence, il a également une solution à présenter au problème. Mais ce qu’il présente ensuite comme un objectif pourrait, dans certaines circonstances, être également problématique. Et je me suis retrouvé dans cette image quand j’ai trouvé ces deux positions qui sont deux positions rivales. Les groupes qui sont liés les uns aux autres sont, passant maintenant par le détroit, qui est bordé par Scylla et Charybde que vous connaissez de la Grèce et l’un des bateaux a maintenant commencé et s’approche de Scylla et l’équipe regarde aussi sur l’autre bateau qui s’approche de Charybde et maintenant va être entraîné dans le tourbillon et bien sûr, ils ont tous l’air l’air horrifié, mais ne voient pas que le d’abord de derrière le volant sont dévorés inversement, ils semblent qui sont proches de Charybde regardent le bateau et voir comment le premier sont dévorés et les deux crient l’un à l’autre et disent : vous êtes sur la mauvaise voie. Il y a donc en quelque sorte un milieu à trouver.

-LE FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL-
Maintenant se rencontrent, sur ce Forum économique mondial, des politiciens que j’ai ici en captures d’écran réalisées à partir de la vidéo. Tout ce que je dis est publié et sur des vidéos sur le site web du forum économique mondial, donc lors de la cinquantième réunion annuelle en janvier étaient par exemple présentes ces importantes personnalités comme Angela Merkel, Donald Trump, le vice-premier ministre du congrès de l’État chinois, il s’appelle Zeng, je crois, mais il représente les Chinois et puis pour l’U.E. avec Ursula von der Leyen. Ou il peut y avoir des chefs d’entreprise. J’ai pris ici une photo de Paul. Stoffel qui est le chef de la science donc au conseil d’administration de la société pharmaceutique Johnson & Johnson, sur lequel j’aurais encore quelque chose à dire, et se rencontre ici des représentants des églises et des ONG, j’ai ici au milieu le cardinal Turkson. Il est le représentant du pape François depuis 2014 peu après son inauguration au forum de la conférence économique mondiale, Shing, il siège parmi les autres représentants religieux et à sa droite on prend donc un représentant des Sikhs, et à côté de la dame Humaid qui l’entoure, je ne sais pas qui elle représente, est un rabbin juif. Donc le forum économique mondial se comprend comme un outil très complet, un forum de dialogue où tous les acteurs culturels les courants devraient être représentés. Alors les deux années 2019 comme 2020 en janvier Greta Thunberg est apparue en tant que représentante de la jeunesse. Le changement climatique est observé comme très préoccupant et en 2019 elle a donc, oui toujours précisé à plusieurs endroits qu’elle voulait mettre en paniquer les dirigeants entre temps on peut dire que çà lui a réussi. En 2020, elle a alors dit : j’ai été entendue et je vois que cela devient les questions abordées maintenant, je voudrais, mais aussi voir que vous faites quelque chose. C’était une courte déclaration. Il s’agit donc des questions environnementales alors que les représentants de l’église sont très forts à aborder les questions sociales. Puis il y a des représentants de la science. J’ai fait une capture d’écran ici de la conférence de presse curieusement, exactement convoquée à cette cinquantième année d’assemblée était parce qu’il est soudainement apparu qu’en chine 17 personnes sont malades de covid 19 et par ce message ont alors immédiatement alerté, car ces scientifiques savaient déjà que cela va être une grande pandémie qui va nous occuper dans un futur proche et j’ai jeté un coup d’œil à qui sont ces personnes qui sont à cette conférence de presse. Nous avons une fois Juliana Chen qui est la fondatrice du média de partage mondial et elle a un doctorat en biologie et elle a déjà quatre brevets d’invention US juste dans le domaine des vaccins dont déjà trois licences pour la commercialisation elle est déjà assez longtemps jeune leader global du forum économique mondial. Il est intéressant de savoir aussi que ce forum économique mondial a également de jeunes leaders, les favorise et les prépare afin de pouvoir prendre plus tard le rôle de leader. Alors nous avons ici Jeremy Faran, directeur du Wellcome trust, une fondation globale indépendante désintéressée qui se donne pour tâche d’améliorer la santé en aida g les grandes idées à prospérer. Donc cette problématique de vaccin en chemin et il est justement un scientifique de secteur de la santé donc également médecin et a beaucoup traité des maladies infectieuses puis nous avons Richard Hatchett. Voici ce que j’ai trouvé dans un article « le seigneur des vaccins corona » : dirige, à partir d’Oslo, l’influente alliance de combat d’épidémie (coalition pour l’épidémique capacité d’innover). Ils développent des vaccins ou promeuvent les recherches de vaccins afin qu’on puisse rapidement réagir. Un médecin américain, un épidémiologiste et un conseiller expert des présidents américains George Bush et Barack Obama oui et ensuite il est dit dans cet article de journal : travaille, depuis que la Chine a publié en janvier la séquence génétique du covid 19 littéralement contre le temps pour sauver des vies humaines et le quatrième,j’ai été étonné, ce n’est pas un scientifique ici, mais il est entrepreneur et d’ailleurs un entrepreneur français, copropriétaire de l’entreprise Moderna qui dans le domaine biologique développe aussi des vaccins était alors écrit chez Wikipédia, ce que j’ai trouvé très étonnant. Selon les rapports, l’entreprise a, sous ses dirigeants, un climat de peur et développe une culture du secret dans lequel peu d’informations pénètrent dans le monde extérieur. En avril 2020, lorsque l’action Moderna grimpe en bourse en raison des études de phase 2 sur l’homme pour un potentiel vaccin covid 19 de Moderna vit la valeur des 9 % de parts de la société de Bancel monter à plus d’un milliard de dollars américains et entre-temps, ses actifs à 2,1 milliards de dollars US. Il a donc grossi économiquement, a absolument profité. Puis nous avons des représentants des médias et ici, nous avons ce que l’on appelle des partenaires stratégiques. C’est la catégorie supérieure. Partenaire stratégique du forum économique mondial, c’est par exemple l’agence média Thomson Reuters, Thomson Reuters ce qu’était avant Reuters a maintenant Thomson, une entreprise canadienne impliquée. D’ailleurs, ce sont les premiers à avoir des nouvelles de la Chine sur la pandémie à apporter aux téléscripteurs et Hubert Burda Médias, également un partenaire stratégique, les partenaires sont ceux qui sont à 100 pour cent derrière l’objectif du forum économique mondial. De manière intéressante, le partenaire de vie de notre ministre fédéral de la santé est dans une position de dirigeant chez Burda et puis il y a ceux qu’on appelle les entreprises GAFAM qui sont citées ici : Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft. Elles sont chargées de la numérisation et maintenant j’en viens au secteur financier et probablement vous connaissez cette personnalité qui est Larry Fink de Blackrock, aussi un partenaire stratégique, et Goldman Sachs est aussi listé comme absolument j’ai remarqué que les partenaires stratégiques, c’est-à-dire les 100 principales entreprises qui développent un certain le programme d’amélioration du monde avec le forum économique mondial viennent dans une large mesure du secteur financier et puis j’ai ici maintenant affiché Christine Lagarde qui est toujours là parce qu’elle était jusqu’en 2019 Cheffe du Fonds monétaire international. Et à partir de 2019 en novembre ou décembre, elle sera alors venue à la tête de la banque centrale de l’Union européenne. Et ici nous avons concentré tout l’argent et les problèmes de devises liés à ce que peut-être, si on veut avoir un revenu de base alors on doit placer là beaucoup d’aiguillages. Donc, quand il a été dit dans le livre de Klaus Schwab : le concept de l’argent hélicoptère est sur la table, c’est n’est rien d’autre qu’une image pour un genre de revenu de base que l’on distribue avec l’hélicoptère de l’argent sur une masse d’humains dans le besoin, alors l’ensemble des principaux commutateurs du secteur financier doivent être réinitialisés et il y est travaillé.

-BOULEVERSEMENT MACRO-
Maintenant dans le livre le grand bouleversement de Schwab donc ça se divise en trois grands domaines, à savoir le bouleversement macro-économique, le bouleversement micro-économique et le redémarrage personnel de l’humain. Tout cela, prétend Schwab, par la pandémie qui roule maintenant vers nous et ne pourra pas être surmontée si rapidement, peut provoquer de grands changements, de grands bouleversements, et un bouleversement décisif sera justement du domaine macro et il explique sur ce graphique le premier grand chapitre sur le bouleversement qu’il décompose en cinq chapitres et qui sont collés ici dans ce graphique. Donc il y a dans le monde entier des risques économiques qui peuvent être affectés par les échecs financiers, le chômage ou les politiciens du budget des crises peuvent survenir bulles d’actifs, il peut s’agir de déflation ou d’inflation. Donc il y a beaucoup de champs de crise que vous pouvez observer aujourd’hui et s’ils se produisent alors ils ont également un effet sur la société directement et ici de nombreux points problématiques qui se trouvent dans les pays asiatiques ont une importance. 

Dans ce graphique, donc juste dans les pays africains ainsi que dans le soi-disant Sud global, ils apparaissent en premier, à savoir : crises alimentaires ou crises de l’eau qui, à leur tour, conduisent à d’involontaires migrations et ensuite aussi les pays du nord de la planète par l’immigration vers l’instabilité sociale, des problèmes auxquels il faut aller et où on doit trouver des solutions. Le troisième chapitre va plutôt dans les risques géopolitiques et ici vous voyez les deux échouer politique nationale et gouvernance globales, politique de réglementation et c’est justement ce que nous allons regarder plus exactement et c’est ce que dit Schwab et qu’on peut toujours trouver comme une exigence de l’enseignement social catholique. Il s’agit d’une nouvelle politique globale d’ordonnancement où l’économie n’a plus la primauté, mais le politique a la primauté, il s’agit d’une nouvelle forme du diriger sur une étendue globale et si cela ne réussit pas les risques environnementaux vont devenir de plus en plus importants il y aura des conditions météorologiques extrêmes, même la protection du climat peut échouer, des catastrophes naturelles, mais on pourrait dire la santé mondiale devient de plus en plus menacée, elle le sera si nous ne solutionnons pas ce problème de direction la terre peut devenir un lieu inhabitable et pour fin par des risques techniques et je trouve cela maintenant très excitant parce que dans ce chapitre sur le bouleversement macro-économique au niveau technique, il développe assez fortement une dystopie, donc une image du futur qui n’est pas belle, en fait bien terrible, mais en même temps semble une nécessité à l’intégrale numérisation et robotisation du monde, donc d’un côté il voit la conduite de la dystopie qu’il décrit également très détaillée, sur l’autre côté, il dit aussi qu’est assez clair que ça ne peut être évité que ça doit venir, donc nous devons le concevoir et nous devons le concevoir afin que cela nous aide à maintenir la santé mondiale.

-LA SANTÉ MONDIALE ET LE CONSOMMATEUR-
Mais maintenant au problème principal de la santé mondiale, la question est en fait le consommateur. Et le problème est qu’il y a maintenant sept milliards et demi de consommateurs et ça a tout de suite commencé dans les pays riches et c’est juste qu’au siècle dernier avec la mondialisation croissante, avec l’amélioration de la situation de l’offre, on a toujours éveillé de plus grands désirs. Bien sûr que nous avons d’énormes voyages en avion qui aujourd’hui prennent tout à fait deux ou trois points, oui, juste que dans les pays riches occidentaux, notre consommation est de plus en plus étendue et que le Sud a donc raison et que si tous les humains vont avec une population en pleine croissance et en même temps une consommation toujours plus importante, alors il va avec que la santé mondiale ne continue plus et là, on voit maintenant le problème du marché libre et du néolibéralisme. Et donc c’était un concept qui d’ailleurs a fait que pendant beaucoup d’années, le forum économique mondial a été préempté parce qu’il y avait de nombreux rassemblements de protestation contre le néolibéralisme du forum économique mondial, mais il est dit maintenant que le néolibéralisme est à sa fin, que nous devons trouver une toute nouvelle forme pour comment nous pouvons répondre à ces questions d’avenir, aussi cette question du climat. Donc, si toutes les entreprises... tous les consommateurs veulent de plus en plus de consommation, les entreprises sont heureuses, parce qu’elles peuvent vendre toujours plus et délivrer leur production à partir de cela tout et beau, mais si nous le faisons de cette façon, le monde sera lui-même détruit, nous avons donc besoin d’une nouvelle forme de direction autour de la question suivante : comment ce leadership peut-il réussir.

-LE DILEMME DE LA LIBERTÉ-
Et maintenant j’aimerais revenir à l’enseignement social catholique. Comment cette direction peut-elle réussir ? Elle le peut seulement de la perspective de la doctrine sociale catholique, en ayant une gouvernance mondiale. J’ai en fait comme beaucoup, moi aussi dans j’ai consulté les encycliques, différentes études sur le sujet de la part des représentants de l’enseignement social catholique. J’ai tout de suite une étude de Wolfgang Palaver. C’est un professeur et un théologien à Innsbruck, il va toujours à la question juste : comment une gouvernance mondiale, comment les nombreux États-nations se retrouvent dans les questions centrales ainsi qu’une solidarité mondiale peut être créée ? Et à cette question, il sera maintenant répondu dans le cadre de l’enseignement social catholique très différemment et on peut dire que j’ai le soupçon que tout de suite ici Karol Woitila avait encore une autre approche parce qu’il venait d’un pays communiste et ce qu’il ne voulait pas du tout était une solution socialiste qu’il avait très bien expérimentée, mais on doit trouver quelque chose et quand on suit Wolfgang Palaver qui systématise très bien les différentes formes de leadership : le vieux libéralisme, le néolibéralisme, puis l’ordolibéralisme des années 40 apparu en Allemagne d’un arrière-plan protestant, aussi le néolibéralisme encore, mais alors l’enseignement social catholique et ensuite tous les accords qui ont été conclus et une orientation à cet idéal ordo ou néo que l’on dise nous avons besoin de la propriété privée, nous avons besoin d’entrepreneur individuel qui a besoin d’être libre, on a pas la permission de limiter l’entrepreneur, mais nous avons besoin d’une telle solidarité et nous avons aussi besoin d’un pouvoir réglementaire fort en tant qu’État, mais toujours on doit construire à partir de l’humain libre afin que le Christ puisse se valoir, dans le faire pratique, mais on a besoin d’un reliant la communauté/collectivité et maintenant qu’est-ce qui donne un objectif communautaire unifiant dans cette encyclique sociale ? « SOLICITUDO REI SOCIALIS » quelque chose comme social comme... aide sociale, soin social. Il vient en conclusion à l’eucharistie et il a l’impression : oui, si les humains, à travers l’eucharistie s’élève à un spirituel, donc quand ils deviennent de bons chrétiens, alors ils se comporteront de telle sorte dans le domaine social que les choses deviennent bonnes. Donc ça rayonne et c’est l’approche de missionner autant d’humains que possible qu’ils s’élèvent à ce spirituel et ce courant avait toujours une relation au néolibéralisme. On a dit qu’il fallait laisser les entrepreneurs libres, mais doit les mouvoir de l’autre côté de cet idéal religieux. On doit comprendre ce contexte. Et cet arrière-plan, je veux maintenant l’expliquer. J’aimerais regarder maintenant en arrière sur la doctrine aristotélicienne sur laquelle l’enseignement social catholique est fondé, à savoir que dans l’interprétation de Thomas d’Aquin. Thomas d’Aquin a interprété Aristote très fortement et le Nicomatique est une théorie du leadership pour les dirigeants de l’époque grecque. Et pour Thomas, ça ressemble à ça l’âme qui est incarnée dans le corps a une première partie convoitant et lorsque cette partie convoitant détermine l’âme si elle suit seulement ses désirs alors elle devient esclave d’elle-même. L’âme a besoin de direction et comment peut-elle se donner cette orientation/direction? Seulement par la partie dotée de raison synthétique de l’âme elle cherche justement de la direction et maintenant si pour ainsi dire la partie inférieure ne peut pas se dresser à la partie dotée de raison synthétique alors la partie inférieure prend une vie qui lui est propre et ça se lève justement par la pensée. De plus,l’esprit/le spirituel peut et c’est ce qu’Aristote appelle eudémonie ce qui ne signifie rien d’autre que bon esprit. Le penser regarde seulement l’esprit aussi quand il devient actif et peut faire un bon l’esprit en lui-même, et en fait ce bon esprit aide la partie inférieure la partie ayant puissance de désirs à l’amener dans/sous une direction. Donc il vient maintenant une force qui s’élève de bas en haut en un équilibre et cette force/pouvoir doit être là et le leader doit passer par une formation d’âme appeler cette force en lui-même, il parle d’une sphère mésote donc toujours juste au milieu entre les extrêmes, mais il dit en même temps que la faculté de penser qui à l’époque est réservée uniquement à quelques humains. Il vient a une certaine façon de voir qui était justifiée pour le temps grec qui sera ensuite transformé en l’opinion de Thomas d’Aquin. Voici les vérités chrétiennes, qui s’ajoutent, le message du salut et on s’est demandé comment accéder à ce bon esprit, comment on peut être sauvé par le message du salut, se lier avec l’élément chrétien et là Thomas a développé une doctrine, mais est de plus en plus apparue de la possibilité de la pensée de l’époque à savoir que maintenant, en concepts acérés, concepts scolastiques, ces pensées de raison acérées et ici est déjà une grande différence déjà avec le temps grec.  Dans le temps grec, nous avons, avec les dirigeants, la capacité, ou avec les humains en général qu’ils ont encore perçus les forces dans le monde et les penseurs pouvaient contempler ces forces en idées et jamais personne n’aurait pu dire que ces idées sont produites par eux-mêmes et à la fin du Moyen Âge, cela se retourne et montre également dans une certaine controverse que certains disent non je suis témoin de mes concepts moi-même et ce quoi le monde est basé, je ne peux que spéculer et l’autre direction dit non c’est une réalité, mais dans laquelle nous sommes toujours venus avec notre expérience moins de poussés et c’était une grande question comment arriver à nouveau à cette expérience qui se tient de ces forces, mais comme une approche de leadership en arrière-plan, car aussi Thomas d’Aquin a dans la doctrine qu’elle serait pour les monarques. Les monarques en fait clairement de sorte que ce modèle est, pour ainsi dire, un ordre hiérarchique, des mondes et pourquoi aussi le pape doit médier comme instance de pont vers le spirituel et qui s’en charge juste l’enseignement social catholique et maintenant le problème est ceci quand cette force et c’est le problème du courant droit, ne lui est pas puissant, mais en fait consiste seulement en des dogmes abstraits, alors cela n’agit pas du tout sur l’humain inférieur/d’en bas et si je laisse ensuite l’humain inférieur libre alors cette partie commence de devenir de plus en plus indépendante et ensuite le néolibéralisme sort qui est maintenant combattu de la manière la plus massive par le pape François. Et maintenant la grande question est comment on introduit la direction dedans lorsque la célébration de la sainte eucharistie dans le chemin n’est plus efficace : comment fait-on cela ? C’est la grande question, le grand défi.

-PANDÉMIE ET POLITIQUE D’ORDONNANCEMENT GLOBAL-
Et maintenant la pandémie émerge. Maintenant, par exemple, quelqu’un émerge comme Bill Gates et maintenant c’est aussi un partenaire stratégique du forum. C’est aussi décrit dans le livre qu’il y a des humains qui ont seulement la faculté de penser linéairement, il décrit qu’on peut seulement penser de manière linéaire avec notre cerveau, mais des humains, par exemple comme Bill Gates, ont la faculté de penser en réseau, penser à plusieurs choses à la fois et de voir les conséquences et ainsi de reconnaître rapidement les choses que d’autres personnes ne sont pas si précoces à reconnaître. Et Bill Gates a ensuite aussi, très tôt après que, depuis Bush, la promotion de l’Organisation mondiale de la santé a été réduite, repris un rôle de plus en plus important avec sa fondation et donc aussi avec sa réflexion prospective. Je dis aussi une pensée pré-voyante examiner les pandémies sur le possibilité qu’il y a déjà beaucoup d’influence depuis de nombreuses années et maintenant, c’est tellement incroyable, nous avons vu cette pandémie arriver en janvier et le dimanche de Pâques vient en Allemagne, à la soirée Broadcast Tagesthema (thèmes du jour) 30 minutes ... on doit prendre avec ça que Gates est, encore et encore, la cible de théories de la conspiration, mais on peut se demander si les médias ne sont pas à blâmer, car si maintenant on regarde cette mise en scène de l’image, et on doit aussi se demander ce que signifie cette mise en scène de l’image, tout de suite pour le courant de droite, mais nous avons eu le dimanche de Pâques, le grand public va derrière la télévision et maintenant vient la première image du pape François. Il donne la bénédiction sur le cercle terrestre et le journaliste du Tagesschau décrit ça et dit : oui, et il a dû cela devant des églises et surtout une place Saint-Pierre vide tout cela est transmis en ligne et ensuite il le serait déjà qu’avant cette interview de Bill Gates vient dans cette émission une information sur la paroisse de Jülich qui ont également une grande fête de service de Pâques et alors des images sont montrées comment cela est pris et ensuite un entretien avec le pasteur dit clairement que fait en numérique, ça va aussi et il y. a des participants plus âgés qui ont participé bien activement aussi numériquement à ce service et que c’est apparemment possible. La troisième grande image est une première fois l’Afrique : comment les pays d’Afrique s’occupent de la pandémie et cela se termine par les Bill & Mélinda Gates qui se soucient des humains en Afrique, que les soins de santé soient fournis et ensuite vient cette interview de onze minutes, la partie principale de l’émission dans laquelle tombe la phrase que Bill Gates a d’abord décrit que oui, on a maintenant rapidement besoin d’un vaccin qui doit être développé et bien sûr ce n’est donc pas sans poser problème, les problèmes de sécurité doivent être pris en compte, indiquer clairement qu’ils seront pris en compte et que nous devrions vacciner sept milliards d’humains et nous allons faire cela donc c’est à ça que ça se résume et donc on pourrait dire qu’il est sauvagement présenté comme le sauveur qui a eu cette sage prévoyance de créer les possibilités que l’industrie pharmaceutique soit enclenchée afin qu’elle produise ce vaccin et peut livrer cet agent salvateur au monde entier et pouvons de nouveau rentrer dans une nouvelle normalité . Cette expression « nouvelle normalité » tombe également dans le livre « la grande remise à zéro », donc en fait nous avons maintenant... je ne sais pas si j’étais un évêque comme Vigano, je penserais : attends un peu, ce Monsieur X ici, nous est présenté comme un nouveau sauveur. Et je pourrais, à cette attitude, comprendre qu’on court à une tempête. Quand on entend quelque chose comme ça : les églises sont fermées elles n’ont pas résisté et à la place sera désormais faite grande l’industrie pharmaceutique et si...  maintenant encore bien... je me suis de nouveau une fois jeté un coup d’œil à Paul Doppels qui était à forum mondial représentant de Johnson & Johnson, un partenaire stratégique du forum économique mondial et appelé ainsi sur le site web du forum comme la centaine d’entreprises de premier plan sélectionnées dans le du monde entier en raison de leur engagement pour l’amélioration de la situation mondiale. Ces partenaires croient en la puissance de travailler ensemble pour un changement positif et travailler en étroite collaboration avec le forum économique pour aider à façonner les relations entre les agents industriels, régionaux et globaux. Alors j’ai jeté un coup d’œil au site web « kuckuck ». Là, vous pouvez trouver à Johnson & Johnson, une autodescription cela s’appelle Johnson & Johnson strive, l’accès et l’accessibilité financière à améliorer créer des communautés plus saines et un esprit sain, un corps sain et un environnement sain pour tout le monde et partout, rendre l’entreprise accessible, relier la science du cœur et l’ingéniosité autour de l’état de santé de l’humanité. Alors j’ai une fois regardé sur Wikipédia à Johnson & Johnson, sous « critiques », j’ai ensuite trouvé ce qui suit, mais j’ai remarqué qu’ils sont quand même riches en idées qui leur viennent. Johnson & Johnson sera en de nombreux cas directement liés à l’épidémie aux États-Unis d’Amérique en rapport à ce qui a conduit à une crise du système de santé publique aux États-Unis. En mai 2019 dans l’état américain de l’Oklahoma, a commencé une procédure historique sur les opioïdes contre Johnson & Johnson. Le conglomérat est accusé : de trafic d’opiacés synthétiques, de faire des milliards de profits. Ils ont manipulé des études pour cela, se sont livrés à une commercialisation trompeuse et à des mensonges publicitaires. En août 2019, le tribunal dans l’Oklahoma a condamné la société pharmaceutique dans cette affaire, lié à un paiement d’une indemnité de dédommagement à hauteur de 572 millions de dollars pour publicité trompeuse en rapport à des analgésiques créant une dépendance élevée. Johnson & Johnson a altéré la santé et la sécurité des milliers de citoyens de l’Oklahoma, est dit dans le jugement. Oui, cette divergence apporte bien sûr au droit de l’armée des évêques se tenant sur le côté droit, contre ceux qui se tiennent plus à gauche, aussi les partenaires.

-SANTÉ MONDIALE ET CONTRÔLE DES MÉDIAS-
Ainsi on voit là que l’Organisation mondiale de la santé est attaquée, pas empiété, mais cela est déjà préparé donc par ce que le contrôle viendrait par la numérisation, sur l’humanité et en même temps que le contrôle des médias doit être créé et ici à cause de cela, l’évêque s’est rendu clair qu’a cet événement 201 d’octobre, qui a eu lieu le 18 octobre 2019, beaucoup a déjà été anticipé et dans cette forme qu’il y a dans le livre de Paul Schreyer : chronique d’une crise annoncée, a été analysé de manière très détaillée... cela a été arrangé/organisé la première fois non seulement par l’université John Hopkins, là, il y avait avant quelques exercices parce que bien sûr, et on s’est toujours préparé à des événements catastrophiques. Cela fait partie de la tâche d’institutions étatiques et scientifiques que l’on opère ainsi avant et que l’on peut absolument voir quelque chose de justifié et dans ce sens des exercices ont été faits dans les dernières années dans différentes conditions. En 2018 a été fait un exercice sur les armes biologiques, mais maintenant dans cet exercice, il est étonnant par rapport à celui de 2018, mais le Forum économique mondial n’était pas impliqué, maintenant il est impliqué et il est exercé entre représentants étatiques et conglomérats qui, en cas de pandémie et de manière surprenante, un scénario d’exercice d’une pandémie au virus corona qui se déclare à Yuan de chauves-souris comme est décrit dans la description et c’est exactement ce qui plus tard a eu lieu et là pourrait donc sonner des alarmes dit justement Paul Schreyer et apparemment le savaient aussi ces représentants que serait relativement vite dit que cela ne peut donc pas être ils ont notamment aussi argumentés... on peut tout vérifier dans les vidéos en hd publiées, j’ai aussitôt fait des captures d’écran, ils exercent la stratégie de communication envers la population et là, dans une de ces vidéos ici Hasti Taghi, vice-présidente du troisième plus grand groupe média choisit NBC Universal, un partenaire stratégique associé, pas tout à fait aussi élevé qu’un partenaire stratégique. La dame dit ici dans l’exercice qu’il convient aux bons représentants d’apparaître dans les médias traditionnels pour laisser notre version de l’histoire s’étendre. Alors Avril Haines, ancienne vice-directrice de la CIA et vice-conseillère à la sécurité sous Obama depuis lors à un poste élevé d’un cabinet de lobbying qui fait pression sur les entreprises, en contact avec le Pentagone et les agences de renseignement, les sépare, recommande d’inonder l’arène publique avec de propres arguments donc j’ai lu les choses de Paul Schreyer dans la traduction. Je les ai toutes vues gelées dans l’original et j’ai ici aussi exactement toujours l’endroit où elle dit dans cette vidéo, ce qui, de ce côté,a été officiellement publié alors nous avons Matthew Harrington ici, président d’Edelman, la plus grande l’agence de presse au monde, en même temps plus personnellement conseiller de Microsoft. Edelmann est au FEM, sous la liste de partenariat et promeut une centralisation de stratégie de communication. Une stratégie de communication centralisée devrait mettre en œuvre un système décentralisé de messages à apporter au public, formulé sur l’adéquation aux représentants d’organisations non gouvernementales et organisations de santé, et d’ailleurs coordonné à l’international et alors nous avons Jane Halton,c’est l’ex-ministre de la Santé et ministre des Finances d’Australie alors elle était à l’OMS en fonction dirigeante et entre-temps présidente de la CEPI (Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies).
. Nous devons nous attendre à des incitations qui doivent être mises en place qui conduisent au fait qu’une grande partie des gens changent leur comportement et d’ailleurs dans la direction que nous voulons voir, mais de telles choses sont dites là et dans le document final de ce qui est dit sur le site web de l’événement, vient alors cet endroit où les entrepreneurs des médias se développent, obligés de veiller à ce que la priorité soit donnée aux annonces administratives et que les fausses annonces soient réprimées, aussi à l’aide de technologies. Johannes Moosmann a, en un essai qu’il vient d’écrire sur site web de l’institut de triarticulation, a suivi précisément comme cette prise d’influence à l’aide de technologies de tamisage/filtrage des jugements des nouvelles que nous devrions entendre, à nouveau justement cette année a été propulsé avec la plus grande massivité, comment ce développement s’est imposé avec une si énorme force que nous vivons actuellement.

-PERSPECTIVE-
Pour cette raison,j’aimerais dans la prochaine vidéo revenir sur ce que j’ai déjà présenté dans cette vidéo, mais maintenant encore une fois sous la perspective comment trouver le chemin entre Scylla et Charybde, donc les deux abîmes à travers lesquels l’enseignement social catholique, dans sa dispute, comme j’ai essayé de le montrer au début, doit montrer pourquoi ces deux abîmes sont bien sûr disponibles pour chaque humain, ce qui n’est pas simplement un problème des catholiques, ce qui est le problème de nous tous, et comment l’approche de Rudolf Steiner dans l’anthroposophie montre absolument une voie sur la manière de passer entre ces abîmes. À la fin de la vidéo, j’aimerais brièvement indiquer qu’aujourd’hui les dons que certains ont faits, ce qui est, pour la poursuite des vidéos, très important pour moi, mais nous avons entendu certains dire qu’ils n’ont pas du tout trouvé et je voudrais donc indiquer brièvement où ils peuvent être trouvés : une fois que vous avez appelé la vidéo sur YouTube, vous trouvez sous la vidéo qu’il y a deux liens qu’on peut aussi ouvrir vers le bas pour obtenir encore plus de liens, mais des deux premiers l’un d’eux mène à un formulaire de don, l’autre pour les personnes qui sont intéressées par faire un webinaire sur ces sujets, nous verrons si c’est possible de mettre en place quelque chose. Mais d’autres regardent par la page de l’Institut Dunlop, il est en fait à gauche et certains n’avaient jusqu’ici pas trouvé. Je l’ai remis ici maintenant alors pour qui aime regarder ces vidéos, je suis heureux si un petit soutien vient qui motive ensuite aussi toujours un petit peu. Merci. 

  • Vidéo 06
  • Slides (images)
  • Transcription et traduction de la vidéo

AVZERTISSEMENT : sur cette vidéo il n'existe pas de sous-titrage en langue française réalisée par François Germani. Par contre, une retranscription du contenu de la vidéo en langue française se trouve dans l'onglet ad hoc.

Actuellement il n'y a pas de diaporama (slide) en langue française pour cette vidéo.

 

La "vraie communion" des humains dans la vidéo 03:36    > dans le texte
La "vraie communion" et l'activité entrepreneuriale dans la vidéo 16:52  > dans le texte

 

Nous avons donc vu dans la vidéo précédente comment la doctrine sociale catholique se scinde actuellement en deux courants, ce en quoi l’un des courants met l'accent sur ce qu'on doit laisser l'être humain individuel libre dans son action extérieure. Il devrait là, dans une certaine mesure, faire ses preuves, devrait vivre son idéalisme/individualisme. Et il se montre quand même de plus en plus que cet individualisme, qui peut être plutôt un individualisme entrepreneurial, conduise à des rapports qui ne sont quand même pas ainsi que l'on puisse dire calmement que nous pouvons continuer ainsi. Et vis-à-vis de cela, se tient un autre courant qui dit que cela ne peut pas continuer comme ça, nous devons maintenant organiser de la solidarité d'en haut vers en bas, et cet organiser de haut en bas, cela atteint tout de suite une façon et manière particulièrement puissante sous le mot-clé "great reset" ou grande réinitialisation/grand bouleversement et j'ai montré comment là, avec cette offre actuelle du Forum économique mondial, qui est vraiment portée avec une grande force d’affirmation dans le monde, comment là derrière se place en paroles et en actes, le courant qui aussi, on doit dire, est représenté par le pape François, les deux courants ne peuvent pas montrer, convainquant, une voie vers l'avenir. 

Les deux courants se tiennent dans une certaine mesure à des précipices différents, et la grande question est s'il y a un chemin entre ces deux abîmes. J'ai utilisé là l'image de Charybde et Scylla dans la dernière vidéo. Y a-t-il un chemin entre ces deux abîmes pour naviguer à travers sans sombrer ? Ou, en d'autres termes, y a-t-il une possibilité de vivre individualisme et liberté et d'avoir, malgré cela, des objectifs de communauté à réaliser. C'est aussi l'espoir du courant plus conservateur qui s’est toujours plus lié au néolibéralisme. Simplement parce qu'il laisserait la personnalité entrepreneuriale libre. Et l'espoir est que l’eucharistie qui est la célébration sacrificielle suprême du culte catholique élève les humains ainsi qu’à partir de raisons libres, ils peuvent s’efforcer à ces objectifs communautaires. Dans cette vidéo, j’aimerais contourer le chemin que Rudolf Steiner a démontré il y a plus de cent ans et de nouveau j'utilise des matériaux provenant d'un webinaire que j'ai préparé pour cette vidéo. Là sont, conformément à la nature, quelques erreurs que je vous prie d’excuser. 

 

LA « VRAIE COMMUNION » DES HUMAINS.

Donc j’aimerais maintenant une fois représenter et défendre ici la thèse que tout de suite, nous, centre-européens, exprimons massivement par l'Église catholique dans les 1200 dernières années, c'est donc plus tard après l’arrivée du christianisme en Europe centrale que nous avons été imprégnés et que ce catholicisme a absolument quelque chose à faire avec nous et qu'aussi Rudolf Steiner était donc lui-même catholique de par le baptême. Et le livre « Des énigmes de l'âme » qu'il a écrit en 1917, où alors il conduit tout d'abord une discussion avec le philosophe médecin, psychologue et historien de l'art Max Dessoir qui, du reste, a d’ailleurs amené le concept de parapsychologie. Et qui en 1917, dans son livre « Au-delà de l'âme, les sciences secrètes en une considération critique » l’a critiqué fortement et consommer. Steiner montre maintenant la particularité de la pensée scientifique qui encore aujourd'hui, en de nombreux cas, l'emporte et qu'il n'est déjà pas prête à s’immerger dans ce qui repose dans les pensées de ces autres, mais critique, finalement à partir d'une antipathie, seulement, ce que l'on se représente soi-même et alors, de l'autre côté, est le catholique Franz Brentano qui a quitté l'Église en 1870 parce qu'à l'époque, l'infaillibilité du pape a été amenée dans l'Église. Donc quelqu'un qui était aristotélicien, qui était entièrement lié à toutes ces questions, remarque : non, ce qui là vient purement, alors je dois continuer autrement, mais il lutte avec une question intérieure d’âme. Et maintenant, Steiner va là-dessus dans cet essai, très affectueusement, très sympathiquement et tente de montrer cette voie, d’accompagner en fait en pensées. Il venait donc de mourir lorsque Rudolf Steiner a écrit ce livre donc serait accompagné après la mort et montre maintenant là une nouvelle perspective qui, avec un problème de fond, n'a pas tout de suite à faire avec le courant de droite du catholicisme qui, notamment parce qu’il ne trouve pas cette voie en une pureté spirituelle, de l'autre côté remarque la liberté accentuée. La liberté devient arbitraire et l'humain inférieur commence à tout maîtriser et j’aimerais maintenant encore une fois partir d’une polarité. Quant à l'humain supérieur et l'humain inférieur, on jette un coup d'œil, et on peut cela donc aussi jusque dans des hommes/messieurs médicaux, comment un humain lors de la conception apparaît, comme en premier en fait à partir du sang, le cœur se forme, comme donc aujourd’hui on dit toujours que le cœur serait une pompe, mais quand on lorgne dans l'embryologie, on remarque que toujours est primairement le mouvement et forme/façonne, du mouvement du sang, ce qui est cœur. Et quand le cœur est formé comme premier organe, les organes périphériques peuvent être fournis de manière autonome. Et ainsi de suite. Donc que là une force est effective qui façonne l'humain, donc a à faire avec les forces du sang quand alors on est mis bas/naît. En fait, aujourd'hui, on dit toujours plus avec le premier souffle, l'humain pénètre le monde, oui, mais c’est donc aussi ainsi qu’avec la respiration, avec le premier souffle/train de respiration, l'humain commence absolument à s'éveiller pour le monde. Et exactement cette polarité intervient qui maintenant, cette fois-ci chez l'enfant, de proche en proche jusqu'à l'adulte, doit se développer afin que l'être humain commence l'effort pour le monde, de comprendre le monde. Et le petit bébé dont le cordon a maintenant été coupé de la fourniture de la mère, il commence à désirer le lait maternel comme premier, vit le désir et cette polarité nous accompagne toute la vie. Qu'une telle chose veuille nous rendre éveillés, mais de l'autre côté, qu’avec nos impulsions de volonté, nous sommes d'abord un désir placé dans le monde et maintenant on peut, dans la langue allemande, faire ce jeu de langue que d'un saisir à un comprendre et d’un comprendre, on arrive dans la raison analytique tandis que, quand on développe le saisir dans une autre direction, donc que le comprendre est rentré dans la raison analytique pour ainsi dire, on saisit quelque chose de limité et choisi du particulier, mais quand je sélectionne purement quelque chose, alors j'ai les parties dans la main, manque malheureusement, seul le lien spirituel. 

Et ce lien spirituel, je dois apprendre à le saisir. Et à partir de cela apparaît en allemand le mot la « Vernunft (raison synthétique) » qui maintenant effectue quelque chose. Elle perçoit quelque chose d’un pendant/lien spirituel. Elle peut apprendre à le contempler. Et d'après la direction corporelle du désirer, se transforme donc d'un côté dans les désirs et quand l'âme, pour ainsi dire, saisit quelque chose, et veut l'avoir pour elle-même, alors naît/apparaît une avidité toujours plus forte pour les choses. Donc vers l'autre côté, quand l'humain se transforme toujours, alors il ne peut pas seulement prendre ses propres besoins en vue, mais aussi les besoins de l'autre et c'est exactement ce que nous devons faire dans la vie économique. Nous devons justement toujours plus apprendre à comprendre les besoins de l'autre et en dériver la nécessité/le besoin, mais cela va seulement quand l'humain supérieur vient à l'humain inférieur dans un jeu d'interaction qui est une double polarité qui y est efficace là. Et nous vivons aujourd'hui dans le domaine de la tête. Nous nous sommes pour ainsi dire entièrement retirés, nous avons... cette capacité à percevoir un spirituel, elle nous est devenue extrêmement étrangère et cela est pendant à ce que nous avons développé une conscience de science de la nature. Et cela signifie que c'est maintenant une pensée qu'en fait, on peut trouver par tous les écrits épistémologiques jusqu'à « Des énigmes de l'âme », toujours de nouveau en différentes variantes chez Rudolf Steiner et dont finalement il dérive la triarticulation et cela je veux maintenant aussitôt montrer, donc nous nous tournons entièrement vers le monde extérieur. Il pénètre en nous à travers la perception sensorielle et à cette perception des sens, nous apportons des concepts en vis-à-vis, mais nous ne savons pas d’où nous prenons les concepts.

Donc dans la conscience de tous les jours, nous utilisons des concepts et nous ne nous efforçons pas, à cause de cela, de comprendre comment nous avons formé les concepts, donc d'une certaine manière par l'orientation au monde des sens, nous sommes encouragés/incités à former des concepts d'une certaine manière, mais nous ne nous faisons pas de véritables pensées sur comprendre si nous le sommes maintenant nous-mêmes qui formons les concepts ou si c’est encore d'autres choses qui œuvrent formant en nous. À partir de ces concepts, apparaissent là où la perception et le concept apparaissent liés, pour nous l'image de représentation. 

J'aimerais maintenant faire un exemple : aussi quand quelqu'un qui n'a aucun concept de la doctrine sociale catholique, lit le livre de Klaus Schwab il ne remarquera pas comment massivement le livre est constitué à partir de ces concepts, il éprouve par cela quelque chose à percevoir des liens/pendants qui se tiennent là, mais pour lui, ne sont pas existants. Lorsqu'un biologiste va par-dessus une prairie, il reconnaîtra, entièrement différenciées, de nombreuses plantes tandis qu’un humain non exercé va là-dessus dire bellement coloré quand les bonnes sont dessus, donc dans notre concept et la façon dont nous avons aussi formé nos concepts, porte aussi ce que nous voyons dans le monde et regardons cependant de l'autre côté, nous réagissons à ces images de représentation avec notre sentiment/sentir et dans le sentiment l'être humain inférieur donne déjà dans le désir. Et la question est maintenant comment cela peut être transformé. Puis-je me développer une conscience sur ce que je fais quand je saisis le monde et est-ce que cela a éventuellement aussi quelque chose à faire avec la transformation d'un sentir ? Donc quand je rentre dans ce contre geste de voir/contempler : haha je ne peux pas seulement abstraire des concepts ce que le scientifique de la nature aujourd'hui fait combiner se tenant ensemble en un modèle, mais je peux facilement/bientôt/en même temps les amener dans un mouvement intérieur, je peux procéder plastifiant/modelant avec cela, donc je dois ouvrir encore un autre nouveau champ d'observation pour voir/lorgner ce que je fais là et cela est étranger aux scientifiques de la nature. Steiner nomme ça l’observation par l’âme, et il dit alors extra dans la philosophie de la liberté. Tout de suite pour l'édition de 1918, il a même ajouté encore : "la philosophie de la liberté, là il s’agit d'observation par l’âme d’après une méthode scientifique" donc que ce qu’on a appris à la science de la nature, de se placer les choses extérieurement en vis-à-vis et aussi les analyser réellement, cela on peut aussi le faire dans les observations par l’âme quand cependant on ne reste pas planté chez ce qui est abstrait, mais vraiment dans un mouvement intérieur qui va donc à ce qui justement est immergé dans le spirituel. On distingue maintenant ce mouvement intérieur. 

Cela ne fait pas l'anthropologie, ce sont toutes des sciences qui sont, pour ainsi dire, basées sur ce purement analytiquement observé, observé penser extérieur. Aussi les sciences des âmes par exemple comme la psychanalyse et la voie/le chemin maintenant dans un autre penser, dans une pensée qui fait ce mouvement à l'intérieur du spirituel, développe des concepts mobiles en contraste aux concepts fixes de la science de la nature qui sont gelés/frigorifiés, cela introduit l'anthroposophie ainsi et maintenant c'est bien excitant quand, par exemple, on prend le premier écrit de Steiner, l'introduction aux écrits de science de la nature de Goethe, sont accompagnés/annotés aujourd'hui en même temps d’une fondation de la science de l’esprit « anthroposophie ». Et il y a déjà un endroit qui, à cette question, oui que les catholiques posent avec la célébration de l'Eucharistie, peut laisser devenir attentif, car dans le chapitre la sorte de connaissance de 1887 est cette belle description des objets de la pensée que sont cependant les idées, donc j'observe celles-ci, en ce que je maîtrise l’observation de l'idée, cela fusionne puissamment avec les fondements originels de l'être-là universel/des mondes, ce qui œuvre à l'extérieur, entre dans l'esprit de l'humain. Il devient un avec la réalité objective à sa puissance maximale et alors cette phrase merveilleuse : le devenir conscient de l'idée dans la réalité est la la véritable communion de l'humain. La pensée a, vis-à-vis des idées, la même signification que l'œil a à la lumière, l'oreille au son, elle est organe de la conception/saisie. Donc dans le moment où je commence à transformer ces idées en un organe, que par cette activité intérieure, j'apprends par exemple à vivre la véracité d'une déclaration, qu'est-ce qui œuvre là-dedans ? Dans le moment je m’ouvre justement de ce côté et peux développer d'autres sortes de concepts, mais quand je me les place alors en vis-à-vis, alors je peux les regarder/contempler exactement ainsi avec la logique qu’aussi le scientifique de la nature contemple/regarde et aussi loin qu’il dit alors que la logique est le champ où l'anthropologie et l'anthroposophie se rencontrent. Seulement, le problème est, c'est pourquoi je l'ai occulté maintenant, tout le côté de nuit qui nous est tout d’abord fermé. Et nous commençons à vouloir comprendre cela et nous endormons immédiatement lorsque nous essayons de nous rendre dans cette région, c'est-à-dire que ce n'est pas tout à fait facile dès le début de venir purement dans cette direction. Donc elle devrait être lentement éclairée par activité. 

 

LA "VRAIE COMMUNION" ET L'ACTIVITÉ ENTREPRENEURIALE. 

Mais maintenant, nous avons besoin de quelque chose de cette force de communion pour amener notre activité entrepreneuriale dans le guérissant. Donc nous en avons besoin tout de suite quand dans la vie extérieure cela devient actif parce que cela apporte justement une direction transformée dans cette activité extérieure. Seulement nous sommes aujourd'hui ainsi que nous avons l'habitude par la science de la nature, seulement dans l’un des pôles de la logique de la pensée abstraite, ce qui s'avère bien approprié pour contrôler le monde, là nous sommes devenus très forts et cela aujourd'hui les entrepreneurs l'utilisent/l'appliquent de leurs habitudes et ceux qui le peuvent bien ils y sont alors aussi très performants. Construisent de grandes entreprises, propulsent cela toujours plus loin, s'impliquent toujours plus dans la technologie, construisent aussi la technologie ensemble avec les scientifiques de la nature, toujours plus raffinés. Ils négocient de numériser le monde et ainsi de suite. C’est donc l'un des pôles. 

Quand il ne trouve pas de complément par l'autre pôle, justement qu’on devienne plus flexible/mobile, qu'on n’a pas seulement la propre entreprise à l’œil, mais maintenant lorgne comment je viens alors dans une collaboration avec les autres. Quand on veut cela, on a besoin justement de quelque chose qui sera saisi de cette autre région. Quand purement je reste dans l’organisant, alors cette force de désir n'est pas utilisée, mais elle grandit et alors le néolibéralisme vient dedans. Exactement le problème qu'a la direction de l'Église catholique, qui dit que nous devons laisser l'humain libre. Elle ne peut pas montrer un chemin que Franz Brentano a cherché, mais reste en cela à des dogmes abstraits. Là sont là seulement les vérités de chauffage de l'Église catholique que l'on a transmises du christianisme. Cela n'a pas été amené à la transformation intérieure, pas été intégré. Donc maintenant, quand on se renforce vers en haut cette activité intérieure, alors on peut, vers l'extérieur, développer une faculté, maintenant vraiment, de regarder les besoins des humains de manière plus objective et alors saisir l'interaction des vrais processus en images. 

Là nous sommes au tout début, c'est le grand défi que s'il vous plaît, je voudrais aussi montrer dans les prochaines vidéos, comment faire, par exemple, pour qu'un autre système monétaire puisse être développé que le système développé aujourd'hui. Mais pour cela, nous devons d'abord apprendre à connaître le système monétaire actuel. Mais comment est-il possible de transformer le système monétaire de telle sorte qu'il devienne un organe de perception pour le processus économique. Donc comme grande exigence. Toujours plus le besoin et non pas le propre désir, le besoin de l'autre est objectivement poussé au premier plan et qu’il peut être satisfait ! nécessite cependant entièrement de nombreux points de vue différents et là on est alors de manière intéressante de nouveau très proche de Klaus Schwab, mais là, on doit très exactement lorgner sur ce que Klaus Schwab justement dit. Nous pensons généralement avec notre pensée liée au cerveau, nous pouvons penser seulement linéairement et il admire Bill Gates parce qu'il semble avoir la capacité d'une pensée en réseau et il veut travailler en réseau avec son forum, son forum de dialogue, le forum économique mondial, et il montre donc aussi qu’on peut le faire, mais il ne transforme pas les concepts, mais en principe, ce sera toujours la mise en réseau de la pensée assistée par ordinateur. On s'assoit/se place de façon purement mécanique extérieurement et il y a seulement une seule petite instance qui peut utiliser cette forme de mise en réseau pour faire ce qu'elle tient pour correct et l'humanité aimerait dire/contribuer à cette offre. Donc cela est lié à la transformation, une autre force doit justement être développée qui passe par-dessus cette pensée abstraite. Néanmoins, dans la vie économique, là nous avons assez fortement à faire avec les forces de la tête, donc la vie économique sera une vie économique mondiale dans le moment où l'humanité commence à penser en science de la nature, elle se forme, à partir des forces de tête, et cela ne trouve aucun complément des forces de l’environnement/de la périphérie et cela nous conduit en bas dans la situation de crise actuelle. 

Donc maintenant on peut dire que la vie économique est elle-même un énorme organisme de tête. Et dans la vie de l'esprit, là il s'agit toujours du développement/de l'évolution individuelle et d’un développement, par exemple de transformer la pensée, c'est une décision de volonté, cela on doit vraiment le vouloir entièrement autonome, cela aucun autre ne peut vous l’enlever. Donc forme son chemin de volonté, c'est pourquoi là, la vie de l’esprit se forme à partir des forces de volonté parce que dans la mesure de comment je deviens fort intérieurement... et peux renforcer ce pôle percevant par ma propre force, quelque chose peut soudainement devenir spirituellement efficace à travers moi, et la prochaine chose est, et là c’est donc aussi de nouveau une proximité au dialogique du forum économique mondial, ce qui en soi est correct/exact, se place aussi merveilleusement là, c'est le plus grand forum de dialogue au monde et on doit rester en conversation, tout cela est correct, mais la question est quel esprit commence, par cette conversation, à devenir efficace et je crois qu'il commence a être échanger un autre esprit donc où Steiner compare la vie de l'esprit avec l'humain métabolisme-membres, et par le système des membres rayonne le système éducatif, mais nous avons dans la vie de l'esprit à faire avec un élément de volonté tandis que dans la vie de l'économie avec un élément de tête. Mais individuellement nous nous tenons dans la vie économique, pour ainsi dire, dedans avec notre faire extérieur et si cette action extérieure par cette vie spirituelle ne reçoit pas une véritable force de direction alors flue sur l'individuel, de l'humain inférieur un autre esprit qui, au début, nous apparaît comme si c'était notre propre volonté, mais nous avons toujours affaire avec une spiritualité et c'est le grand processus de transformations. 

Maintenant peut-être, on peut comprendre ce duel de la triarticulation. Steiner dit aussi que la vie économique est à comparer avec l'organisme tête, la vie de l'esprit avec le système métabolique-membres et la vie de droit avec le système du milieu, car si la vie de droit est seulement façonnée pour ainsi dire, que les humains se tournent sur les problèmes extérieurs et ensuite veulent trouver quelque règlement et délimiter ce qui convient en fait, cela fait tout de suite aussi Schwab pour cela des personnes déterminées s'imposent alors à occuper les organes démocratiques, alors imposent les représentations qu'ils tiennent pour correctes. Il veut, dit-il, lier le socialisme et le capitalisme donc le plus haut et le plus bas, mais en fait il débranche en cela le milieu. Et la grande question pour le thème droit, c'est qui d'autre maintenant une question supplémentaire : comment apporte-t-on au pauvre que le sentiment de droit de l'humain peut se développer. Ce sont pour ainsi dire, c'est la grande image de l'humain de la triarticulation que nous avons, c'est un gigantesque défi qui est pendant avec cette transformation et ce serait alors aussi dans la prochaine vidéo le grand sujet ce qui serait exactement de comprendre comment cela est possible, comment peut-on réorganiser la vie de l'économie afin d'accueillir les processus de prestation des autres humains ainsi que nous entrions dans une conception/un façonnement solidaire. Il y aura ensuite à montrer tout d'abord comment notre système monétaire est construit et quels sont les défauts/manques de ce système monétaire. Pourquoi il s'agit d'un système qui conduit les humains dans une dépendance toujours plus grande et justement ne rend pas possible l'auto-organisation de la vie économique et il sera à montrer comme polaire pour/à cela, de proche en proche, un système monétaire, de bas en haut, peut être construit qui en même temps reçoit une fonction perceptive et ce que cela signifie alors en pratique. 

J'essaie d'indiquer cela dans des vidéos supplémentaires. Je me réjouirais si ceux qui regardent ces vidéos et qui se disent : oui, ces vidéos me sont pleines de valeur, qui reconnaîtraient que l'agencement de ces vidéos, de ces feuilles, aussi le couper et l'assembler complet est lié à beaucoup beaucoup de travail et il est certes entré de manière valant des remerciements quelques petits dons et aussi une somme légèrement plus importante, mais ce n'est pas vraiment suffisant pour financer ce travail vers l'avenir afin que je peux toujours me demander à nouveau si je peux parvenir à le faire. Je serais donc heureux si ceux qui en ont vraiment la possibilité cliquent directement ce lien sous la vidéo. Vous serez alors redirigé vers le site web de notre institut et là il y a ensuite un formulaire. Si vous y mettez votre nom et votre adresse électronique alors vous obtiendrez automatiquement le numéro de compte par envoi. Nous ne pouvons malheureusement pas faire en sorte que le numéro de compte soit simplement publié parce que l'expérience montre qu'aujourd'hui les numéros de compte sont rapidement utilisés à mauvais escient. C'est pourquoi une petite fonction de protection est intégrée ici. Je me réjouis de recevoir ainsi de vous et espère que la possibilité apparaisse de réaliser des vidéos supplémentaires.  

Merci beaucoup

  • Vidéo 07
  • Slides (images)
  • (Pas de) transcription et traduction de la vidéo

AVERTISSEMENT : sur cette vidéo il n'existe pas de sous-titrage en langue française réalisée par François Germani. Par contre, une retranscription du contenu de la vidéo en langue française se trouve dans l'onglet ad hoc.

Actuellement il n'y a pas de diaporama (slide) en langue française pour cette vidéo.

Video 7 setzt die Beschreibung des Programms des Great Reset weiter fort. In Video 5 lag der Schwerpunkt darauf, wie über die Frage der Gesundheit ein Instrument für eine globale Ordnungspolitik geschaffen werden soll. Video 7 zeigt, wie das Währungssystem ein Instrument zur Lenkung der Menschheit ist und wie es nach Vorstellung der Verfechter des "Great Reset" - unter Berücksichtigung des Gegensatzes China - USA - in Zukunft weiterentwickelt werden soll. Das ganze wird aus der Perspektive der „Dreigliederung des sozialen Organismus betrachtet“. Dabei zeigt sich, wie durch das Geltend-machen eines einseitigen geistigen Impulses über das Instrument des politischen Staates, die Funktionsfähigkeit des Rechtslebens immer mehr eingeschränkt wird.

La vidéo 7 poursuit la description du programme Great Reset. La vidéo 5 s'est concentrée sur la manière dont un instrument de gouvernance mondiale doit être créé via la question de la santé. La vidéo 7 montre comment le système monétaire est un instrument pour guider l'humanité et comment il doit être développé à l'avenir selon l'idée des partisans du "Great Reset" - en tenant compte du contraste entre la Chine et les États-Unis. Le tout est vu sous l'angle de la "triarticulation de l'organisme social". Cela montre comment la capacité de fonctionnement de la vie juridique est de plus en plus limitée par l'affirmation d'une impulsion intellectuelle unilatérale à travers l'instrument de l'État politique. 

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) 

 

 



 

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