Extrait du reccueil de conférences « Les arrière-plans spirituels de la Première Guerre mondiale »
Stuttgart, le 23 avril 1918 - 14ème conférence
Rudolf Steiner – GA174b
Éditions anthroposophiques romandes (2010) -
Traduction : Jean-Marie Jenni
(…) Je disais que nous avons à prendre en compte les forces spirituelles qui interviennent dans le monde physique habituel. Nous avons toujours considéré que l’être humain, au cours de sa vie, est au cœur de trois courants de forces : les courants luciférien, ahrimanien, et le courant essentiellement propre à l’humanité. J’ai souvent indiqué également qu’on ne pouvait pas dire : « je veux éviter le courant luciférien ou le courant ahrimanien », car c’est en voulant cela qu’on s’y plonge davantage. Il faut au contraire être au clair là-dessus, étudier le fait que l’être humain est au cœur de ces trois courants. Il s’agit d’accueillirdans la vie le savoir de la présence de Lucifer et d’Ahriman.
Or l’impulsion luciférienne a inspiré au premier chef bien des éléments de la vie sociale et de la structure historique de l’humanité au cours des derniers siècles, voire des millénaires. On pourrait évoquer beaucoup, beaucoup d’éléments issus d’impulsions lucifériennes, mais je n’en mentionnerai qu’un seul où chacun reconnaîtra facilement l’action luciférienne.
L’orgueil et la vanité jouent un rôle immense dans l’attitude que l’homme prend dans tous les pôles et à tout point de vue de la vie. Combien de personnes occupent leur poste pour avoir été flattées ou piquées dans leur orgueil par la structure sociale ? Tous les titres, les rangs et les ordres ne reposent en définitive que sur l’élément luciférien. Demandez-vous, sans faire valoir quelque préjugé, quelle part il y a de réponse à l’hameçon de l’orgueil (cet appât de l’orgueil) dans la position qu’occupent les gens. Voyez comment la position des uns au-dessus ou au-dessous des autres, est l’effet d’une structure sociale qui calcule avec l’orgueil.
C’est un domaine où Lucifer a véritablement joué un rôle extrêmement important.
Considérons un autre phénomène que l’on commence à pratiquer et à admirer. Or c’est bien au sein de notre science de l’esprit qu’est le lieu où il faut observer ces choses d’un regard adéquat. Voyez ce qui apparaît de plus en plus et sous bien des formes en ce moment, je veux parler des examens d’aptitude (ou tests d’intelligence). Ces tests sont destinés à trier enfants et jeunes gens selon leurs aptitudes. Ces tests menacent de se développer en une vraie idolâtrie. Car comment procède-t-on ? On a des psychologues de formation, qui ne comprennent certes rien aux âmes, mais en revanche tout de la psychologie. Ces psychologues sont formés selon les méthodes actuelles et se croient ainsi capables de sélectionner enfants et jeunes gens afin, plus tard, de mettre les bonnes personnes aux bons endroits,... évidemment. Ainsi à l’avenir on comptera moins sur l’appât de l’orgueil et de la vanité, du moins le croit-on, et d’autant plus sur la vertu des tests d’intelligence. Ces tests d’intelligence sont fondés sur la rapidité de la compréhension et sur la faculté de mémorisation. On énumère par exemple une suite absurde de mots, et celui qui les mémorise le plus rapidement reçoit la meilleure note. On fait un test d’intelligence en donnant aux candidats une liste de mots sans rapport entre eux. On donne par exemple les mots « cambrioleur » et « miroir » et on invite l’élève à les mettre ensemble. Le premier dira : le cambrioleur s’est vu dans un miroir. L’autre dira : J’ai un miroir dans ma chambre, un cambrioleur s’approche et je le vois. Le deuxième, ayant fait une phrase plus compliquée, aura la meilleure note, il est plus doué que le premier. On ne manque pas non plus d’édifier des statistiques, et on va ainsi à la pêche des plus intelligents. Ils seront ensuite choisis pour occuper les bonnes places.
Et voyez-vous, si vous vous élevez contre ces pratiques sur la foi de présupposés tels que nous les faisons ici, si vous réfutez ces merveilleux acquis de la science moderne, vous passez pour un demeuré, un lourdaud qui n’y comprend rien.
Regardons cela selon nos connaissances ! Qu’examine-t-on ainsi chez l’être humain ? On n’examine rien qui soit en rapport avec l’âme. Il suffit de réfléchir à ceci : si on avait appliqué ces tests aux hommes qui ont apporté les choses les plus grandioses à l’humanité, on aurait dû conclure qu’il s’agissait des moins doués. Prenez le célèbre Helmholtz ; si on l’avait examiné avec ces nouveaux tests, il n’aurait pour sûr jamais atteint le poste qu’il a occupé. Ces tests d’intelligence n’ont absolument rien à voir avec le développement des facultés de l’âme individuelle humaine, mais bien davantage avec la somme des forces ahrimaniennes qui se cachent en l’être humain. On ne mesure pas ainsi l’être humain mais les forces ahrimaniennes qui sont en lui. Tandis que par le passé on a édifié une structure sociale en ne comptant que des forces lucifériennes maintenant on ne veut compter que sur les forces d’Ahriman. Évidemment, ces choses ne seront perçues que par ceux qui veulent approcher le monde par les connaissances de la science de l’esprit, car cette méthode des tests d’intelligence est portée aux nues dans les journaux comme étant une acquisition des plus éminentes de notre époque et comme étant appelée à structurer le futur ordre social. Le public qui ne croit plus en aucune autorité[1], ce pauvre public, il n’a aucun moyen de penser aux conséquences d’une telle pratique. Il n’a aucun moyen de s’en former des concepts clairs. Or c’est cela qui importe.
À la suite de tout ce que nous avons placé devant notre regard, vous aurez la bonne question si vous cherchez aujourd’hui des concepts sur ce qui doit se passer prochainement dans l’humanité au sens de la science de l’esprit. Vous vous emploierez alors à comprendre les individualités humaines, afin de leur apporter ce à quoi il faut qu’elles s’intéressent. Vous n’en viendrez pas à évaluer les aptitudes ahrimaniennes, car celles-ci ne conduiront qu’à traiter toute l’humanité comme un simple ensemble de machines. Par les tests d’intelligence on ne fait qu’examiner l’esprit à la surface de la corporéité, on n’évalue l’être humain qu’en ce qu’il y a en lui de mécanique. On établit ainsi un tri social qui ne cherche à mettre aux commandes que le meilleur genre de machine physique. On ne réfléchit pas à ce qui se trouve au fond de l’âme, et ce qui se trouve au fond de l’âme ne peut jamais faire surface par des tests de ce genre.
Je ne reproche à personne d’idolâtrer ce genre de choses, car celui qui n’a jamais rencontré la science de l’esprit ne peut guère faire autre chose que de s’adonner à ce malheur : considérer cela comme la chose la plus intelligente à faire à notre époque ! Or cela conduit à éloigner totalement l’être humain de la réalité de la vie humaine. Cela conduit dans les régions de l’abstraction, dans un monde où ne règne que la spiritualité morte d’Ahriman. Ces évolutions sont extrêmement graves, et il s’agit de considérer très sérieusement cette façon d’abstraire l’humanité de la réalité. C’est ce qu’on fait très intensivement aujourd’hui : abstraire l’être humain de la réalité. Car celui qui perd le sens de la réalité de l’esprit perd peu à peu également le sens de la réalité extérieure qui l’entoure au quotidien, s’il n’est pas obligé de la prendre en compte par son métier ou autre. (...)
[1] Ndlr : Ici Rudolf Steiner est bien sûr ironique ! Il ne cesse de montrer maints exemples en d’innombrables conférences montrant à quel point le public croit en l’autorité (de la science principalement à notre époque ; auparavant il s’agissait de la croyance en l’autorité de l’Église)
[Caractères gras et italique S.L.]
Rudolf Steiner
Note de la rédaction À NOTER: bien des conférences de Rudolf Steiner qui ont été retranscrites par des auditeurs (certes bienveillants), comportent des erreurs de transcription et des approximations, surtout au début de la première décennie du XXème siècle. Dans quasi tous les cas, les conférences n'ont pas été relues par Rudolf Steiner. Il s'agit dès lors de redoubler de prudence et d'efforts pour saisir avec sagacité les concepts mentionnés dans celles-ci. Les écrits de Rudolf Steiner sont dès lors des documents plus fiables que les retranscriptions de ses conférences. Toutefois, dans les écrits, des problèmes de traduction peuvent aussi se poser allant dans quelques cas, jusqu'à des inversions de sens ! |
Tous les articles de la catégorie Pensées anthroposophiques
- Vrais et faux alchimistes au Moyen Âge
- Dessiner, classer, schématiser l’anthroposophie, ou au contraire rendre la pensée mobile ?
- Le sport, serait-il ACTUELLEMENT une sorte «d’ersatz» ? Si oui, un ersatz de quoi et pourquoi ?
- La question cardinale de la vie économique
- Dans le déchiffrage de la chronique de l'Akasha, une plus grande objectivité et assurance est possible que dans celui de l'histoire extérieure. Pourquoi ?
- On ne remarque souvent pas de nos jours que l'on n'a pas d'autres idées que celles par lesquelles on ne peut accéder qu'à des réalités matérielles
- Une différence fondamentale entre la psychologie d’aujourd’hui et la véritable connaissance de la vie de l’âme
- Les sages grecs avant Platon à la lumière de la sagesse des Mystères
- Les mystères et leur sagesse
- POINTS DE VUE – [On procède strictement selon l'esprit scientifique quand on étudie l'évolution spirituelle de l'homme avec la même disponibilité intérieure que le scientifique applique à l'observation du monde sensible]
- L'individualité humaine libre est-elle possible ou est-elle déterminée par l'espèce, l'ethnie, le peuple, le sexe, le collectif ?
- Une fête de Noël qui n'a plus de sens par méconnaissance de l’Être du Christ...
- Noël peut aussi rappeler la naissance du christianisme lui-même dans l'évolution terrestre
- Ce qui dans l'être humain est éternel dépasse les nations. Quelle est une des causes profondes (ésotérique) de la haine à l’égard d’une autre nation?
- Comment faire des gens de dociles instruments, en introduisant des symboles dans le subconscient ?
- L’établissement de rapports mutuels entre les vivants et les morts
- La mission de la vie terrestre comme point de passage vers l’au-delà
- Les représentants obéissants des sociétés secrètes prétendent que le peuple n'a pas la maturité suffisante pour accéder aux savoirs supra-sensoriels
- Ne peut comprendre l'école Waldorf que celui qui a adopté dans son cœur la science de l'esprit d'orientation anthroposophique
- Le courage de défendre le vrai christianisme et non celui de façade
- La perte de toute vénération face aux énigmes de la vie. Pour quelle raison ?
- Celui qui ne se pose pas la question du sens de la vie refuse l'esprit
- En règle générale, pour parler de l’immortalité, on fait appel au plus subtil des égoïsmes en l'être humain, celui de désirer la vie après la mort
- Idéalisme contre antisémitisme
- L’antisémitisme, une insulte à toutes les conquêtes culturelles de l'époque moderne (Ahasver)
- Un antisémitisme honteux
- Actions de Lucifer et d’Ahriman dans l’être humain. Un concept qui masque l’action d’Ahriman: le «hasard»
- Que se passe-t-il en chaque individu humain lorsqu'il passe par un processus d'initiation et que se passe-t-il pour la terre lors du Mystère du Golgotha ?
- Que requiert la compréhension du Mystère du Golgotha, à l’époque ACTUELLE ?
- L'humanité occidentale actuelle, à la traîne de l'Amérique, sombrera dans la barbarie si elle ne comprend plus le mystère du Golgotha
- On ne peut pas imaginer plus grande tyrannie que celle qui veut refuser l'étude d'un domaine qu'elle n'a elle-même jamais étudié et se refuse à le faire
- Au fond la simple croyance à la réincarnation et au karma ne conduit pas à grand-chose
- Comment l'âme peut-elle surmonter sa détresse présente ?
- Le caractère entièrement public de l’anthroposophie et la nécessaire différenciation entre dilettantes et experts
- Se présenter dans le monde sous le signe de la pleine vérité
- Les deux questions fondamentales à la base de la Philosophie de la Liberté
- Poser clairement le problème de la Liberté : réalité ou illusion ?
- Le penser repose... sur lui-même !
- La théorie de la relativité conduit à faire les premiers pas dans la science de l'esprit... si elle est pensée de manière conséquente
- Un point de vue sur l'évolution spirituelle de l'humanité au cours de la succession des civilisations
- Pourquoi il y a-t-il alternance entre incarnations féminines et incarnations masculines ?
- Spiritualités «d’en bas» versus «d’en haut»: catacombes versus Rome impériale – anthroposophie versus cultures scientifiques et spirituelles extérieures
- « La pensée du cœur » - Clarifications fondamentales
- Le matérialisme a son bien-fondé
- L’humanité est aujourd’hui seulement assez mûre pour comprendre le contenu spirituel de la loi de Karma et de réincarnation
- Le but et la nécessité de la vie alternée entre veille et sommeil, sans laquelle la vie sur la terre ne serait pas possible. Le lien avec le dépérissement du corps.
- Le mensonge, considéré spirituellement est un meurtre. Il est aussi un suicide.
- La «technique» du Karma
- La loi du karma: une loi universelle
- Pourquoi fixer la fête de Noël en hiver… et pas en été ? L’initiation consciente et l’initiation naturelle (notamment pendant les treize nuits de l’hiver)
- La fête de Noël et les trois principes : Le Père, le Fils et le Saint-Esprit
- Trouver l'harmonie entre l'amour entre les humains en général, d'une part, et l'amour de son peuple, d'autre part
- La part de responsabilité anglo-saxone dans la catastrophe de la guerre
- Quelques particularités fondamentales de l’évolution humaine au cours des périodes de civilisation : leur lien avec la maîtrise du corps physique et avec la conscience clairvoyante
- Celui qui perçoit le monde spirituel peut-il avoir une connaissance immédiate de tout (Omniscience) ?
- Pourquoi les communautés humaines ont-elles accordé de l'importance aux fêtes des morts de toute nature ?
- Pourquoi les livres anthroposophiques sont-ils écrits de façon si incompréhensible ?
- Mourir avant ou après l’âge de 35 ans. Quelques particularités des humains morts pendant leur jeunesse
- Le moment de la mort a une importance extraordinaire
- La vie du sommeil serait beaucoup plus active que la vie… de veille ! De quoi s'agit-il?
- Entre la mort et une nouvelle naissance il nous faut acquérir la faculté d’être un être humain dans la vie physique
- Les dangers de l’initiation occulte jésuite et son opposition la plus radicale avec le chemin de connaissance Rose-Croix
- Extraire l'enfant le plus vite possible de l'enfance : un faux principe d’éducation
- Confrontations et discordes, comme conséquences de pensées abstraites de la réalité. Un exemple parlant.
- C’est pour acquérir des pensées que nous devons entrer dans la vie terrestre
- Un mensonge, même soutenu dans une bonne intention, agit comme un mensonge
- Si l’on avait une éducation du cœur et pas seulement de la tête, ce serait une source de jouvence
- Jamais il n’y eut, au cours du développement de l’humanité, des concepts et des représentations plus spirituels que ceux que notre science naturelle amène à la surface
- La grande maladie de notre temps, c’est la déclamation d’idées abstraites dénuées de valeur pour la vie réelle
- Charlatanerie et manipulations au sein d'un mouvement dit «spirituel»
- La mort des enfants, des jeunes et des adultes
- Réveil et endormissement sont les deux moments les plus importants pour la relation avec nos défunts
- Du matin au soir nous sommes à moitié endormis. La part endormie partage les mêmes réalités que nos défunts.
- L’être humain se développe au-dessus de la vie de l’État
- L’extorsion de l’initiation par les Césars romains et ses conséquences, à l’antipode du monde grec
- Une intention fondamentale dans toute la littérature anthroposophique: Éveiller l’autonomie des lecteurs
- Une histoire amusante qui montre le côté risible du matérialiste arrogant
- Développer une sensibilité pour la boule de neige qui provoquera une avalanche, alors que la volonté existe de tuer l’anthroposophie
- On cherche à détruire la science de l’esprit. Quelques exemples de cas concrets.
- Que signifie «se libérer de soi-même» pour développer des facultés de connaissance occultes? Quel chemin emprunter pour y parvenir?
- L’étude des réalités des mondes supérieurs, une auto-éducation qui transforme peu à peu l’âme
- Max Heindel, plagiaire notoire de Rudolf Steiner
- Quelle est l’importance du penser, du sentir et du vouloir après avoir franchi la porte de la mort ?
- Après la mort, tout ce dont l’être humain n’a pas le moindre soupçon pendant sa vie se dresse puissamment devant lui
- La relation avec les autres êtres humains après la mort, lors de la traversée du kamaloca. Désirs et convoitises camouflés ont une action d’autant plus intense après la mort
- Ce n’est pas le contenu des mots qui compte mais l’essence de la chose
- Deux expériences essentielles rencontrées très tôt au cours de la vie entre la mort et une nouvelle naissance (ainsi que par l’étudiant en occultisme)
- Penser – Sentir – Vouloir : une courte caractérisation
- Organiser le travail scolaire sur base d’une connaissance intime de l’être humain: exemples
- Ce que nous apprend la science : nous avons évolué en nous débarrassant des formes animales
- Pourquoi les êtres humains ne peuvent-ils plus être intérieurement unis au cours de l’année ?
- L'importance capitale des premiers pas dans la vie pour ce qui est déterminé par le destin
- Après la mort: une conscience incommensurable à atténuer pour pouvoir s’orienter
- Le cerveau en tant qu’appareil réflecteur - L’être humain construit selon les pensées du cosmos
- Une mémoire universelle incarnée : voilà ce qu’est l’être humain
- Tous les matins brille le cirage de la chaussure cosmique, ou la prétention d’avoir un jugement sur la totalité du monde à partir des seules lois de la physique, de la chimie, de la biologie
- Le tarissement des forces spirituelles et la nécessité que de telles forces soient générées par les êtres humains eux-mêmes
- Opposer une vie intérieure puissante aux impressions extérieures: un remède permettant de faire face à l’évolution culturelle?
- Se défendre contre tout ce que la technique a apporté dans la vie moderne? Ce serait commettre la plus grave erreur...
- L’amour que l’on croit porter à quelqu'un, le plus souvent pur égoïsme?
- Comment pouvons-nous contrebalancer consciemment les instincts antisociaux, qui se développent naturellement, par des instincts sociaux ?
- De la confiance que l'on peut avoir dans le penser
- Le processus que nous connaissons plus immédiatement et plus intimement que tout autre processus du monde: notre penser
- Pourquoi la majeure partie de la population reste-t-elle indifférente devant l’accroissement incessant du pouvoir médical ?
- Comment faudrait-il concevoir l’enseignement de l’anthroposophie pour les débutants ?
- Origines occultes du matérialisme de notre époque
- La patience, au sens occulte, est nécessaire pour comprendre la science de l'esprit
- Une différence essentielle entre le Grec et le Romain
- Au sujet de la nature des vérités anthroposophiques
- De la nature abstraite des concepts
- Action matérialisante du cinéma