L'usage et l'innocuité de médications anthroposophiques pour le traitement de maladies chroniques : une étude prospective de 2 ans

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« La grande difficulté pour l'être humain d'aujourd'hui est de comprendre tout ce que le cosmos anime en lui, tout ce qui agit en lui. Il préférerait s'imaginer lui-même de la manière la plus simple possible, parce que, aujourd'hui précisément, il est devenu très paresseux dans son penser, dans ses représentations. Mais l'être humain n'est justement pas un être simple, et surtout pas sur le plan social. Et ce n'est certes pas l'arbitraire dans les représentations qui peut faire quoi que ce soit contre cette réalité. » Dornach, 6 décembre 1918 – GA186 Rudolf Steiner

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« La grande difficulté pour l'être humain d'aujourd'hui est de comprendre tout ce que le cosmos anime en lui, tout ce qui agit en lui. Il préférerait s'imaginer lui-même de la manière la plus simple possible, parce que, aujourd'hui précisément, il est devenu très paresseux dans son penser, dans ses représentations. Mais l'être humain n'est justement pas un être simple, et surtout pas sur le plan social. Et ce n'est certes pas l'arbitraire dans les représentations qui peut faire quoi que ce soit contre cette réalité. »
Dornach, 6 décembre 1918 – GA186

Rudolf Steiner

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: Catégorie : Brèves

Contexte et objectifs

Les médicaments anthroposophiques sont prescrits par des médecins dans 56 pays dans le monde et sont utilisés pour le traitement de diverses affections. Toutefois, les données portant sur l'innocuité à long terme de médications anthroposophiques issues d'études prospectives d'envergure sont rares. L'objectif de cette analyse était de déterminer la fréquence des effets indésirables rapportés par les patients ou par les médecins pour des traitements ambulatoires basés sur des médicaments anthroposophiques, et ce pour soigner des maladies chroniques au cours d'une période de deux années.

Conclusions

Au cours de cette étude prospective d'une durée de deux ans, les thérapies fondées sur la médication anthroposophiques furent généralement bien tolérées.

Source : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17147463?dopt=AbstractPlus